[WIP] [Santa Vaca] Hommage de John Wick à D&D.
Publié : mar. nov. 29, 2022 11:22 am
Contexte :
On parle ici des notes que publia J. W. à propos de Donjon et Dragon à l’occasion de la sortie de DD5. Il considère que D&D est « la vache sacrée du JdR » d’où le nom de son jeu hommage.
À cette occasion, il reprend le système de résolution d’un de ces précèdent jeux : « Houses of the blooded » et il l’adapte en mode d20.
Le jeu n’est ni complet, ni cohérent … (oui, une fois de plus J. W. nous troll … on sait tous qu’il aime ça !). Il l’assume et en parle dans la préface du jeu. Dans la mesure où c’est un hommage, il souhaite retrouver l’ambiance des premières parutions de D&D c’est-à-dire un jeu incomplet où il y a autant d’omissions que de contradictions. De plus, il reconnaît qu’il ne fait que publier des notes. Il avait besoin de se vider l’esprit mais il n’est pas allé plus loin. Il n’a jamais eu la prétention d’en faire un jeu complet, fini, de qualité professionnelle. Il se contente de mettre à disposition ses notes, plus où moins mises en forme.
On peut trouver sa publication ici : Santa Vaca
Ce que j’en fait :
Le point de départ pour moi est d’utiliser SV en convention dans un esprit militant. Je comptais montrer au « grand public » que l’on peut faire jouer au JdR sans avoir recours à un scénario.
C’est ce qui m’a conduit à développer des sets de cartes/questions (un pour un huis clos horrifique dans une auberge médiévale fantastique, l’autre pour un huis clos horrifique dans l’espace). On peut retrouver mes productions sur Itch.io à Globo_jdr.
Je n’ai testé le jeu qu’en one shot mais je l’ai testé de nombreuses fois en convention (tribute to Johan Scipion …) depuis ces 5 dernières années. C’est un dispositif de jeu déroutant pour les « old timers » mais très naturel pour les « newbs ».
J’ai eu des velléités de tester le jeu en campagne mais … cela n’a jamais abouti. Je n’ai donc pas de retour à faire sur cette expérience pour l’instant. Les « trous dans la raquette » des règles telles qu’écrites ne posent aucun problème en one shot mais nécessitent des patchs si on souhaite jouer en campagne. Par exemple, il manque un bestiaire et un système de progression/expérience clair.
Le système de résolution de SV pour les nuls :
- 6 caractéristiques de types « dungeons verse » (force, dextérité, constitution, intelligence, sagesse et charismes) codés de 3 à 18.
Des compétences « free form » mais auxquelles on alloue une valeur numérique.
- Des PV.
- Particularité du système : Un jet de compétence n’indique pas si le PJ réussi ce qu’il entreprend mais il indique qui à le droit de raconter ce qui se passe (une réussite où un échec) et quelle quantité de « détails » le joueur à le droit d’ajouter, soit à l’action de son personnage, soit à la scène en cour.
- Jet de compétence : Roll under avec 1d20 sous une difficulté égale à la somme d’une caractéristique et d’une compétence. Résultat du dé : 1-5 description par le joueur sans détails en plus ; 6-10 description + 1 détail ; 11-15 description +2 détails ; 16-20 description + 3 détails. Un résultat égal à la difficulté cible permet de doubler la quantité de détails.
On parle ici des notes que publia J. W. à propos de Donjon et Dragon à l’occasion de la sortie de DD5. Il considère que D&D est « la vache sacrée du JdR » d’où le nom de son jeu hommage.
À cette occasion, il reprend le système de résolution d’un de ces précèdent jeux : « Houses of the blooded » et il l’adapte en mode d20.
Le jeu n’est ni complet, ni cohérent … (oui, une fois de plus J. W. nous troll … on sait tous qu’il aime ça !). Il l’assume et en parle dans la préface du jeu. Dans la mesure où c’est un hommage, il souhaite retrouver l’ambiance des premières parutions de D&D c’est-à-dire un jeu incomplet où il y a autant d’omissions que de contradictions. De plus, il reconnaît qu’il ne fait que publier des notes. Il avait besoin de se vider l’esprit mais il n’est pas allé plus loin. Il n’a jamais eu la prétention d’en faire un jeu complet, fini, de qualité professionnelle. Il se contente de mettre à disposition ses notes, plus où moins mises en forme.
On peut trouver sa publication ici : Santa Vaca
Ce que j’en fait :
Le point de départ pour moi est d’utiliser SV en convention dans un esprit militant. Je comptais montrer au « grand public » que l’on peut faire jouer au JdR sans avoir recours à un scénario.
C’est ce qui m’a conduit à développer des sets de cartes/questions (un pour un huis clos horrifique dans une auberge médiévale fantastique, l’autre pour un huis clos horrifique dans l’espace). On peut retrouver mes productions sur Itch.io à Globo_jdr.
Je n’ai testé le jeu qu’en one shot mais je l’ai testé de nombreuses fois en convention (tribute to Johan Scipion …) depuis ces 5 dernières années. C’est un dispositif de jeu déroutant pour les « old timers » mais très naturel pour les « newbs ».
J’ai eu des velléités de tester le jeu en campagne mais … cela n’a jamais abouti. Je n’ai donc pas de retour à faire sur cette expérience pour l’instant. Les « trous dans la raquette » des règles telles qu’écrites ne posent aucun problème en one shot mais nécessitent des patchs si on souhaite jouer en campagne. Par exemple, il manque un bestiaire et un système de progression/expérience clair.
Le système de résolution de SV pour les nuls :
- 6 caractéristiques de types « dungeons verse » (force, dextérité, constitution, intelligence, sagesse et charismes) codés de 3 à 18.
Des compétences « free form » mais auxquelles on alloue une valeur numérique.
- Des PV.
- Particularité du système : Un jet de compétence n’indique pas si le PJ réussi ce qu’il entreprend mais il indique qui à le droit de raconter ce qui se passe (une réussite où un échec) et quelle quantité de « détails » le joueur à le droit d’ajouter, soit à l’action de son personnage, soit à la scène en cour.
- Jet de compétence : Roll under avec 1d20 sous une difficulté égale à la somme d’une caractéristique et d’une compétence. Résultat du dé : 1-5 description par le joueur sans détails en plus ; 6-10 description + 1 détail ; 11-15 description +2 détails ; 16-20 description + 3 détails. Un résultat égal à la difficulté cible permet de doubler la quantité de détails.