le Zakhan Noir a écrit : ↑jeu. sept. 04, 2025 6:41 pm
Allez, bien vendu, je l'ai pris, c'est ma prochaine lecture (quand j'aurai fini la Horde du Contrevent)
Merci. Mais fais gaffe, mouille-toi la nuque avant !
BenjaminP a écrit : ↑jeu. sept. 04, 2025 9:03 pmErwan G a écrit : ↑mar. août 12, 2025 10:51 am La Cité des nuages et des oiseaux est extrêmement agréable à lire, au point même où il est souvent difficile de poser le livre. Vu la taille des chapitres, il est aisé de se dire « aller, encore un et après je dors » et de ne réussir à s’endormir qu’après avoir lu une cinquantaine de pages de plus. C’est une très belle réussite, bien rythmée, très intéressante à la fois sur le sujet (le livre, sa conservation, sa transmission et le risque de disparition) mais également pour les personnages développés qui, s’ils sont tous un peu extraordinaires, ne sont aucunement des personnages hors normes, incroyables ou monolithiques. Je recommande chaudement sa lecture.
Je l'avais trouvé pas trop mal aussi, mais je trouve qu'il souffre vraiment énormément de la comparaison avec sa source d'inspiration principale, d'ailleurs citée en biblio : le Quattrocento de Stephen Greenblatt, bien plus documenté, plus ancré, tellement plus riche et passionnant, sur l'histoire véritable et bien romancée aux entournures du Pogge, le scribe et secrétaire d'un pape à la grande époque du schisme d'Occident qui avait cherché partout, et finalement découvert, un manuscrit du De Natura Rerum de Lucrèce, texte de très grande réputation chez les auteurs latins mais que mille ans plus tard on croyait définitivement perdu (et qui l'aurait été sans lui).
Si tu as aimé le Doerr, tu devrais y jeter un œil.
J'y jetterai un œil avec plaisir.
Je ne sais pas si les deux sont si proches : le Doerr est un livre sur la passion de la lecture plus que sur le fait de retrouver ou pas un livre donné. Il mêle avec délectation plusieurs genres qui s'unissent à travers cette passion de la lecture.