CasusNO

Perso, j'ai jamais vraiment cru en l'existence des Maldives, alors si quelqu'un pouvait me payer le voyage pour que je sois fixé.. .

Qui Revient de Loin a écrit : ↑mar. janv. 14, 2025 12:02 pm J'aime beaucoup l'un des commentaires :

Perso, j'ai jamais vraiment cru en l'existence des Maldives, alors si quelqu'un pouvait me payer le voyage pour que je sois fixé.. .

Mugen a écrit : ↑mar. janv. 14, 2025 1:53 am

Cryoban a écrit : ↑mar. janv. 14, 2025 12:14 am Un influenceur platiste a participé à une expédition en antarctique où il a pu constater que le soleil ne s'y couchait jamais constatant par là que la terre n'était pas plate...Mais le plus effrayant est la conclusion par l'organisateur du voyage qui a inviter le platiste, car bien qu'elle soit tout à fait vraie, laisse pantois car il a fallu en arriver là pour rappeler une chose pareille au 21ème siècle!

Bon, ce serait plus un sujet pour un thread anti-science, en réalité...

Les femmes détenaient les clés de la terre et de la richesse dans la Grande-Bretagne celtique

Selon de nouvelles recherches, il semble que les femmes britanniques d'il y a 2 000 ans aient transmis les terres et les richesses à leurs filles et non à leurs fils, car les communautés se construisaient autour de la lignée des femmes.

Des squelettes déterrés dans le Dorset contenaient des preuves ADN que les hommes celtes allaient vivre dans les familles et les communautés de leurs épouses.

Les scientifiques ont trouvé des preuves de l'existence d'une communauté entière construite autour de la lignée féminine d'une famille au fil des générations, probablement à partir d'une seule femme.

« Cela témoigne d'une société britannique de l'âge du fer où les femmes exerçaient une grande influence et pouvaient façonner sa trajectoire de multiples façons », explique le Dr Lara Cassidy du Trinity College de Dublin, principal auteur de l'étude.

Fourmis contre humains dans la résolution de l'énigme du déménageur de piano - parfois les fourmis gagnent

L'énigme du déménageur de piano consiste à essayer de transporter une charge de forme étrange dans un environnement restreint comportant divers obstacles. Il s'agit de l'une des nombreuses variantes des problèmes classiques de planification des mouvements, un élément clé dans de nombreuses applications robotiques. Mais que se passerait-il si l'on opposait des êtres humains à des fourmis dans une compétition de résolution de l'énigme ?

Selon un article publié dans les Proceedings of the National Academy of Sciences, les êtres humains ont des capacités cognitives supérieures et devraient donc être plus performants que les fourmis. Toutefois, la privation de communication verbale ou non verbale peut uniformiser les règles du jeu, les fourmis obtenant de meilleurs résultats dans certains essais. Et si les fourmis améliorent leurs performances cognitives lorsqu'elles agissent en groupe, il n'en va pas de même pour les humains.
(...)
Il n'est pas surprenant que les humains aient eu l'avantage en tant qu'individus, étant donné leurs capacités cognitives supérieures ; en tant que groupes communicants, ils ont aussi facilement battu les fourmis dans la recherche de la solution optimale. En outre, les grands groupes de fourmis ont obtenu de bien meilleurs résultats que les fourmis individuelles. En effet, les grands groupes de fourmis ont souvent obtenu de meilleurs résultats que les humains à plusieurs reprises, grâce à leur mémoire collective émergente qui les a aidés à éviter les erreurs répétées et à maintenir une direction de mouvement particulière.

La découverte d'une forêt de coraux près des côtés du Chili offre de l'espoir aux efforts de conservation et de restauration des océans

Des scientifiques ont identifié la forêt d'hydrocoral rouge la moins profonde et la plus méridionale connue au large des côtes chiliennes, ce qui constitue une avancée considérable pour la conservation du milieu marin. Cette découverte jette un nouvel éclairage sur l'adaptabilité et la résilience de ces écosystèmes vitaux, offrant un espoir pour l'avenir de la biodiversité des océans.

Selon l'étude, publiée dans la revue Nature Scientific Reports, la forêt hydrocorale a été découverte à des profondeurs allant de 1,23 à 33 mètres (4 à 108 pieds) sous la surface de l'océan, dans la réserve nationale chilienne de Kawésqar, qui bénéficie d'une protection marine.
(...)
La protection d'habitats comme ceux-ci peut soutenir les pêcheries, améliorer la résilience des côtes et contribuer à la santé générale de nos océans. Des réussites similaires en matière de conservation, telles que la renaissance des récifs coralliens en Irlande du Nord, en Espagne et au Mexique, mettent en évidence le potentiel d'inversion des dommages environnementaux et de sauvegarde de la biodiversité.

Des technologies innovantes, telles que la robotique et l'automatisation, contribuent à la restauration des récifs coralliens dans le monde entier. Ces progrès, ainsi que des découvertes comme celles de la réserve nationale de Kawésqar au Chili, sont essentiels à la préservation des écosystèmes marins vitaux.

Une étude montre que les interdictions de publicité et de parrainage en faveur du tabac réduisent considérablement le risque de tabagisme

L'interdiction de la publicité et de la promotion du tabac a permis de réduire de 20 % la probabilité de fumer et de 37 % le risque de commencer à fumer, selon une nouvelle méta-analyse dont les auteurs affirment qu'elle fournit des preuves supplémentaires que ces interdictions peuvent influencer le comportement des gens.

Des chercheurs australiens ont analysé 16 études sur le sujet jusqu'en avril 2024, impliquant environ un demi-million de participants, et ont publié leurs conclusions mardi dans la revue Tobacco Control.

Une étude de l'AMOC révèle que ce courant océanique critique n'a pas diminué au cours des 60 dernières années

Dans un nouvel article publié dans Nature Communications, des scientifiques ont constaté que l'AMOC n'a pas diminué au cours des 60 dernières années.
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« Notre article indique que le renversement de l'Atlantique n'a pas encore diminué », a déclaré M. Foukal [chercheur adjoint en océanographie physique à la Woods Hole Oceanographic Institution et professeur adjoint à l'université de Géorgie]. « Cela ne dit rien sur son avenir, mais il semble que les changements prévus ne se soient pas encore produits.
(...) « Il est presque unanimement admis à ce stade que le courant de retournement de l'Atlantique ralentira à l'avenir, mais la question de savoir s'il s'effondrera ou non est encore débattue », a déclaré M. Foukal. « Ce travail indique qu'il est encore temps d'agir avant d'atteindre ce point de bascule potentiel ».

Une arme secrète dans la lutte de l'agriculture contre le changement climatique : les fourmis

La réponse, selon M. Jensen, réside dans le mode de fonctionnement des fourmis. Toutes les espèces d'arthropodes possèdent un corps essentiellement hostile aux bactéries, car elles produisent de l'acide formique, qu'elles utilisent pour se désinfecter en permanence. Les fourmis sont également des petites bêtes perpétuellement affamées qui se régalent de spores de pathogènes végétaux, entre autres, et leur sécrétion d'acide formique ainsi que leur nature très territoriale tendent à décourager une multitude d'autres insectes qui pourraient transmettre des maladies ou se régaler des récoltes de certains agriculteurs. En fin de compte, c'est leur plus grande astuce que révèlent les dernières recherches de M. Jensen : les fourmis possèdent également des bactéries et des champignons antimicrobiens sur leur corps et leurs pattes, qui peuvent réduire les maladies des plantes dans les cultures touchées, ces micro-organismes se déposant au fur et à mesure que les bestioles marchent. Lorsque ces insectes sont cultivés dans des vergers, ils marchent sur les arbres, leurs pattes recouvrant les plantes d'organismes microbiens qui peuvent freiner l'apparition de pathogènes.

L'ancienne énigme crétoise qui laisse perplexes les historiens

Ce qui rend le disque de Phaistos particulièrement étonnant, c'est sa méthode de création. Chacun de ses 241 symboles a été soigneusement pressé dans l'argile molle à l'aide de tampons individuels. Les 45 signes différents s'enroulent en spirale des deux côtés du disque, disposés en petits groupes bien ordonnés qui ressemblent de près - et de loin - à des mots. Les symboles eux-mêmes sont un défilé d'œuvres d'art miniatures : des personnages qui se pavanent et portent des coiffures de plumes, des poissons qui nagent nulle part, des oiseaux figés en vol, ainsi que des outils, des plantes et des bâtiments rendus avec un niveau de détail remarquable.
(...)
Les chercheurs, dont certains ont consacré des décennies de leur vie à déchiffrer le disque, ont tout suggéré, de la prière au récit d'aventures, de la propagande militaire aux instructions d'un jeu de société. Certains y voient un texte sacré, d'autres un ancien théorème géométrique. C'est comme si l'on possédait l'un des plus vieux livres d'histoires du monde, mais sans pouvoir le lire, et si l'on ne trouve pas d'autres exemples de ce mystérieux système d'écriture, le code risque de ne jamais être déchiffré.

Une nouvelle technique pourrait éliminer le besoin de stockage à froid des médicaments et des vaccins

Une nouvelle technique de stockage permet de conserver la stabilité des médicaments et des vaccins à base de protéines sans les maintenir au froid, ce qui pourrait éliminer le besoin de réfrigération pour des centaines de médicaments vitaux, ont rapporté des chercheurs dans Nature Communications.
, s'ouvre dans un nouvel onglet.
« Plus de 80 % des médicaments biologiques et 90 % des vaccins nécessitent des conditions de température contrôlée pour conserver leur structure et leur fonction, a déclaré Scott Medina de l'université d'État de Pennsylvanie, responsable de l'étude, dans un communiqué.
Cette nouvelle technique pourrait permettre d'économiser des milliards de dollars actuellement consacrés au stockage de la chaîne du froid, a déclaré M. Medina, en référence au maintien de ces produits au froid tout au long de la chaîne d'approvisionnement. Elle pourrait également permettre leur utilisation dans des endroits où une réfrigération constante n'est pas possible, a-t-il ajouté.
Les vaccins et de nombreux médicaments sont actuellement stockés dans des solutions aqueuses dans des flacons. Les chercheurs ont créé une nouvelle solution de stockage à base d'huile perfluorocarbonée et une substance appelée surfactant pour recouvrir la surface des molécules de médicaments.
L'enveloppe protectrice du surfactant maintient le médicament stable à des températures allant jusqu'à 100 °C, soit le point d'ébullition de l'eau, ont indiqué les chercheurs.

Un test sanguin révolutionnaire pour dépister l'endométriose

Un test sanguin non invasif et peu coûteux pourrait transformer la manière dont le diagnostic de l'endométriose est effectué, en changeant potentiellement la manière dont les médecins généralistes sont impliqués.

De nouvelles recherches prometteuses, publiées dans la revue internationale Human Reproduction, ont démontré une « forte précision prédictive » pour le diagnostic de l'endométriose au moyen d'un test sanguin.

La recherche a été développée par la société de technologie médicale Proteomics International, basée à Perth, en collaboration avec le Royal Women's Hospital et l'université de Melbourne, et a analysé des échantillons de plasma provenant de 805 participantes de deux groupes indépendants.
(...)
Selon l'Institut australien de la santé et du bien-être, cette maladie, qui touche au moins une femme et une jeune fille sur neuf, est diagnostiquée avec un retard de sept ans et coûte, selon les estimations, plus de 7,4 milliards de dollars par an à l'économie.
(...)
Le Dr Richard Lipscombe, directeur général de Proteomics International, a déclaré que les biomarqueurs protéiques identifiés, ou « empreintes digitales » dans le sang d'une patiente, pouvaient être identifiés « dès le début des règles ».
Un test sanguin est plus rentable pour les patientes et le système de santé que l'utilisation actuelle d'ultrasons, de laparoscopies invasives, d'IRM et de biopsies pour diagnostiquer l'endométriose, et des travaux sont en cours pour renforcer la robustesse et la fiabilité du nouveau test en vue d'une utilisation clinique », a-t-il déclaré.

La plupart d'entre nous faisons confiance aux scientifiques, selon une enquête menée auprès de près de
72 000 personnes dans le monde entier

Dans le cadre d'une enquête menée auprès de 71 922 personnes dans 68 pays, notre équipe mondiale de 241 chercheurs a constaté que la plupart des gens ont une confiance relativement élevée dans les scientifiques.
En particulier, les gens souhaitent que les scientifiques jouent un rôle actif dans la société et dans l'élaboration des politiques. Nos résultats sont publiés aujourd'hui dans la revue Nature Human Behaviour.
(...)
Les données ont été collectées entre novembre 2022 et août 2023. Nos échantillons ont été pondérés en fonction des distributions nationales de l'âge, du sexe, de l'éducation et de la taille de l'échantillon du pays.
(...)
À l'échelle mondiale, nous constatons que la plupart des gens ont une confiance relativement élevée dans les scientifiques (niveau de confiance moyen = 3,62, sur une échelle allant de 1 = très faible confiance à 5 = très grande confiance).

Globalement, les gens perçoivent les scientifiques comme étant très compétents, moyennement intègres et bienveillants, tout en étant légèrement moins ouverts à la discussion. La majorité des personnes interrogées considèrent également que les scientifiques sont qualifiés (78 %), honnêtes (57 %) et soucieux du bien-être des gens (56 %).

Aucun pays ne fait preuve d'une faible confiance dans les scientifiques.

L'égalité des sexes est bénéfique pour tous et que le sexisme est préjudiciable à tout le monde, selon la plus grande étude interculturelle de ce type

L'étude psychologique que nous avons menée dans 62 pays, la plus vaste du genre, suggère que l'égalité des sexes est bénéfique pour tous et que le sexisme est préjudiciable à tout le monde - aux femmes, aux hommes et aux nations - et ce, de bien des manières surprenantes. Nous avons donc tous intérêt à promouvoir l'égalitarisme.

Comme le montrent nos résultats, le sexisme est lié à plusieurs maux sociaux qui nous affectent tous. Par exemple, un taux de sexisme élevé permet de prédire un PIB plus faible, ce qui indique une baisse de la productivité économique. Il prédit également un « indice de paix globale » plus faible, ce qui signifie que les conflits nationaux et internationaux sont plus nombreux, que la militarisation est plus forte et que la sûreté et la sécurité sont moindres.

En outre, le sexisme est lié à un niveau plus élevé de pratiques antidémocratiques dans un pays donné. Enfin, il prédit même une durée de vie en bonne santé (sans maladie chronique ni handicap) plus courte chez les femmes et les hommes, telle que mesurée par l'espérance de vie en bonne santé chez les femmes et les hommes de l'OMS.

Des scientifiques incitent les cellules cancéreuses à s'autodétruire au moyen de modifications génétiques

Le cancer a toujours été un ennemi insaisissable, les tumeurs développant une résistance qui leur permet d'échapper aux médicaments conçus pour les traiter. Cependant, un groupe de scientifiques a mis au point une nouvelle stratégie intelligente qui rend les cellules cancéreuses suicidaires, les forçant à se retourner les unes contre les autres.

Leur principale innovation consiste à introduire deux nouveaux « interrupteurs ». Le premier commutateur permet aux cellules modifiées de se développer et de dominer le reste de la population de cellules cancéreuses lorsqu'elles sont exposées à un médicament particulier. Le second interrupteur libère alors une toxine qui tue les cellules modifiées désormais dominantes en même temps que leurs voisines non modifiées.
(...)

En testant cette approche sur des souris atteintes d'un cancer du poumon non à petites cellules, le type de cancer du poumon le plus courant, les chercheurs ont constaté que les cellules modifiées avaient pris le dessus sur les tumeurs originales en l'espace de 20 jours. Au 80e jour, les tumeurs avaient complètement régressé.

L'équipe s'emploie maintenant à tester cette approche sur d'autres types de cancer et d'autres combinaisons de médicaments. Si elle s'avère concluante, elle pourrait constituer un nouveau moyen de vaincre le cancer.

L'ibuprofène et les antibiotiques peuvent réduire le risque de démence

Dans une étude publiée aujourd'hui dans Alzheimer's and Dementia : Translational Research & Clinical Interventions, le Dr Underwood, en collaboration avec le Dr Ilianna Lourida de l'université d'Exeter, a procédé à une analyse systématique de la littérature scientifique existante afin de rechercher des preuves de l'existence de médicaments sur ordonnance qui modifient le risque de démence. (...)

Au total, l'équipe a examiné 14 études utilisant de vastes ensembles de données cliniques et de dossiers médicaux, recueillant des données sur plus de 130 millions d'individus et 1 million de cas de démence. Bien qu'ils aient constaté un manque de cohérence entre les études dans l'identification des médicaments individuels qui affectent le risque de démence, ils ont identifié plusieurs classes de médicaments associées à une modification du risque.

Une découverte inattendue a été le lien entre les antibiotiques, les antiviraux et les vaccins et la réduction du risque de démence. Cette découverte confirme l'hypothèse selon laquelle les démences courantes peuvent être déclenchées par des infections virales ou bactériennes, et confirme l'intérêt récent pour le lien a entre les vaccins, tels que le vaccin BCG contre la tuberculose, et la diminution du risque de démence.

Les anti-inflammatoires tels que l'ibuprofène se sont également révélés associés à une réduction du risque. L'inflammation est de plus en plus considérée comme un facteur important dans un large éventail de maladies, et son rôle dans la démence est étayé par le fait que certains gènes qui augmentent le risque de démence font partie des voies inflammatoires.

The Internet Archive a joué un rôle crucial dans le suivi des suppressions suspectes de données du CDC

Lorsque des milliers de pages ont commencé à disparaître du site web des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) à la fin de la semaine dernière, les chercheurs en santé publique se sont empressés d'archiver les données de santé publique supprimées.

Ils ont rapidement découvert que l'Internet Archive (IA) constituait l'un des moyens les plus efficaces de préserver les données en ligne et de suivre les modifications apportées aux sites web gouvernementaux. Depuis des décennies, les robots de l'IA collectent des instantanés de l'internet public, ce qui facilite la comparaison des versions actuelles des sites web avec les versions historiques. L'IA permet également aux utilisateurs de télécharger des documents numériques afin d'enrichir les archives du web. Ces deux aspects des archives se sont immédiatement révélés utiles aux chercheurs qui ont évalué la quantité de données que le public risquait de perdre lors d'une purge rapide à la suite de deux décrets du président Trump.

Faisant partie d'un petit groupe de chercheurs qui ont réussi à télécharger l'intégralité du site web des CDC en quelques jours, la virologue Angela Rasmussen a contribué à la création d'une ressource publique qui combine les informations du site web des CDC avec les ensembles de données des CDC qui ont été supprimés. Ces ensembles de données, dont beaucoup étaient dans le domaine public depuis des années, ont été téléchargés sur IA par un utilisateur anonyme, « SheWhoExists », le 31 janvier. Pour l'avenir, M. Rasmussen a déclaré à Ars que l'AI resterait probablement un outil de choix pour les chercheurs qui tentent de surveiller de près tout changement inattendu dans l'accès aux données publiques.

(...)

« Ces données sont publiques et elles nous appartiennent », a posté M. Rasmussen. « La désobéissance à la suppression est un moyen de riposter ».

Pour Mme Rasmussen, la suppression des données du CDC est un « vol » dans le domaine public et l'archivage des données du CDC consiste simplement à « reprendre ce qui nous appartient ». Mais en même temps, son équipe prend des mesures pour s'assurer que les données qu'elle a collectées peuvent être légalement conservées. Le site web du CDC n'ayant pas été copié et hébergé sur un serveur, ils espèrent que leurs archives seront jugées légales et resteront en ligne.

« Je ne pense pas que l'administration essaie de faire cesser ces activités par tous les moyens possibles », a déclaré M. Rasmussen à Ars. « Nous voulions nous assurer qu'il n'y avait pas de failles juridiques qui auraient pu mettre en danger les membres du groupe, mais aussi les données ».

Les scientifiques trouvent des traces des éléments constitutifs de la vie dans des échantillons d'astéroïdes

Tim McCoy, auteur principal de l'article et conservateur des météorites au Smithsonian's National Museum of Natural History, explique à Popular Science que la présence de ces composés était totalement inattendue. « La découverte de ces composés a été une surprise totale », déclare-t-il. « Collectivement, l'équipe qui a rédigé cet article a des centaines d'années d'expérience dans l'examen des météorites et aucun d'entre nous - en fait, personne - n'avait jamais vu certains de ces minéraux ».
L'une des raisons pour lesquelles cette découverte est si importante est que les composés ont dû précipiter à la suite de l'évaporation de solutions de saumure, c'est-à-dire de solutions d'eau liquide contenant de fortes concentrations de sels dissous. « Nous le savons », explique M. McCoy, » à la fois parce que certains de ces minéraux ... contiennent de l'eau dans leur structure cristalline et parce que nous savons que le fluide le plus abondant [dans l'univers] est l'eau. Il aurait pu y avoir un petit composant d'autres glaces, comme le dioxyde de carbone, mais il s'agissait principalement d'eau. »
(...)
Cette preuve de la présence d'eau liquide sur l'ancien corps à partir duquel Bennu s'est formé offre une possibilité alléchante : la possibilité que le progéniteur de Bennu ait pu voir les premiers signes de vie. Les saumures du type de celles qui se sont apparemment formées dans les poches d'eau liquide sur l'ancêtre de Bennu constituent un environnement favorable au développement de composés organiques complexes.

À un souffle de la guérison : comment le gaz xénon pourrait transformer le traitement de la maladie d'Alzheimer

Des chercheurs du Mass General Brigham et de la Washington University School of Medicine à St. Louis ont identifié une alternative révolutionnaire : le gaz xénon.

Leur étude a démontré que l'inhalation de gaz xénon réduisait la neuroinflammation, minimisait l'atrophie cérébrale et favorisait les états neuronaux protecteurs dans les modèles murins de la maladie d'Alzheimer. Ces résultats, publiés aujourd'hui (15 janvier) dans Science Translational Medicine, ont ouvert la voie à un essai clinique de phase 1 sur des volontaires sains, qui devrait commencer début 2025.

(...)
Dans cette étude, des souris modèles de la maladie d'Alzheimer ont été traitées avec du gaz xénon qui a été utilisé en médecine humaine comme anesthésiant et comme neuroprotecteur pour traiter les lésions cérébrales. Le gaz xénon pénètre la barrière hémato-encéphalique, passant de la circulation sanguine directement dans le liquide qui entoure le cerveau. L'équipe a constaté que l'inhalation de gaz xénon réduisait l'atrophie cérébrale et la neuroinflammation et améliorait les comportements de construction de nids chez les modèles de souris atteints de la maladie d'Alzheimer. Elle a également induit et augmenté une réponse microgliale protectrice qui est associée à l'élimination de l'amyloïde et à l'amélioration de la cognition. L'ensemble de ces résultats met en évidence le potentiel prometteur de l'inhalation de xénon en tant qu'approche thérapeutique susceptible de modifier l'activité microgliale et de réduire la neurodégénérescence dans la maladie d'Alzheimer.

Une étude montre l'impact qu'aurait d'échanger quelques vaches pour des arbres dans quelques pays riches

Un groupe de chercheurs a mis le doigt sur une solution possible [pour planifier la réduction d'élevage d'animaux] : dans une étude des pâturages mondiaux, ils révèlent que les pays riches et à revenu intermédiaire sont ceux qui ont le plus grand potentiel pour transformer d'anciens pâturages en habitats séquestrant le carbone. En effet, en réduisant la production mondiale de bétail de 13 %, soit moins d'un cinquième, et en la laissant à la nature dans ces endroits, on pourrait séquestrer 125 gigatonnes de CO₂. (l'équivalent de trois ans d'émissions carbone par l'ensemble de la planète)

Ces résultats vont dans le sens du consensus croissant selon lequel les pays les plus riches devraient assumer la charge de la réduction des émissions - un point que les chercheurs n'avaient pas l'intention de soulever, mais qui a émergé de façon organique de leurs données.

La révolution du riz : réduire de 70 % les émissions de méthane tout en augmentant les rendements

La riziculture contribue pour environ 12 % aux émissions mondiales de méthane, un chiffre qui devrait augmenter en raison du changement climatique et de la croissance démographique. Des scientifiques viennent d'identifier des composés chimiques spécifiques libérés par les racines de riz qui influencent la production de méthane. Leurs conclusions, publiées aujourd'hui (3 février) dans la revue Molecular Plant, leur ont permis de mettre au point une nouvelle souche de riz qui émet jusqu'à 70 % de méthane en moins.

« Cette étude montre qu'il est possible de réduire la production de méthane tout en obtenant un riz à haut rendement », explique Anna Schnürer, microbiologiste à l'université suédoise des sciences agricoles, auteur principal de l'étude. « Et on peut le faire en utilisant des méthodes de sélection traditionnelles, sans OGM, si l'on sait ce que l'on cherche.

Des scientifiques chinois transforment E coli en organisme photosynthétique

Il s'agit d'une bactérie intestinale commune qui ne voit normalement jamais la lumière du jour, mais des scientifiques chinois ont maintenant modifié E coli pour qu'elle puisse exploiter la lumière du soleil comme une plante.
En incorporant un système photosynthétique artificiel conçu sur mesure dans la bactérie, les chercheurs ont réussi à rendre l'E coli capable d'utiliser la lumière du soleil et le dioxyde de carbone pour synthétiser des produits chimiques à usage industriel, tels que l'acétone.
Selon l'équipe de recherche, dont les résultats ont été publiés le 2 janvier dans la revue à comité de lecture Nature Communications, cette avancée scientifique pourrait avoir des répercussions majeures sur les secteurs industriel et agricole, en contribuant à réduire l'empreinte carbone de ces secteurs.
(...)

« En assemblant la réaction à la lumière et à l'obscurité, un système de photosynthèse est établi et programmé en installant un adaptateur d'énergie », a déclaré l'équipe.
Bien qu'il puisse fonctionner sans l'adaptateur d'énergie, son ajout permet de changer le programme du système pour produire différents produits - dans ce cas, les produits chimiques industriels acétone, acide malique et acide α-cétoglutarique.
En assemblant la réaction à la lumière, la réaction à l'obscurité et le « mini-programme », nous formons un nouveau système photosynthétique intelligent », a déclaré l'auteur correspondant Liu Liming, professeur à l'université de Jiangnan, au China Science Daily.

Selon l'équipe de recherche, ce nouveau système de photosynthèse naturel, qui imite la fonction clé et les éléments structurels de la photosynthèse naturelle, devrait révolutionner l'agriculture et réduire de manière significative l'empreinte carbone.

Dr Hiatus a écrit : ↑jeu. févr. 06, 2025 7:58 pm

The Internet Archive a joué un rôle crucial dans le suivi des suppressions suspectes de données du CDC

Lorsque des milliers de pages ont commencé à disparaître du site web des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) à la fin de la semaine dernière, les chercheurs en santé publique se sont empressés d'archiver les données de santé publique supprimées.

Ils ont rapidement découvert que l'Internet Archive (IA) constituait l'un des moyens les plus efficaces de préserver les données en ligne et de suivre les modifications apportées aux sites web gouvernementaux.

(...)

https://arstechnica.com/tech-policy/202 ... -removals/

On peut (avec les conseils de mes chers mastonautes) aider la Science et l'intelligence des genres :

Télécharger un client bittorrent (pour Windows il paraît que celui‑là est bien : https://transmissionbt.com/), ouvrir https://archive.org/download/20250128-c ... ve.torrent avec, et penser à lancer le client quand on démarre son ordi (ou mieux automatiser son lancement).
Moi qui connais rien en torrents ni en seedings, je vais regarder là
https://www.makeuseof.com/tag/create-to ... nsmission/

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Mexique : la technologie sort de la végétation une cité oubliée depuis 600 ans

Un chercheur de l'université McGill a découvert que Guiengola, un site zapotèque du XVe siècle situé dans le sud de l'État d'Oaxaca, au Mexique, que l'on croyait être une simple forteresse où des soldats étaient en garnison, était en fait une ville fortifiée tentaculaire. Elle s'étendait sur 360 hectares, comptait plus de 1 100 bâtiments, quatre kilomètres de murailles, un réseau de routes internes et un plan urbain clairement organisé avec des temples et des espaces communs tels que des terrains de jeu de balle, et les élites et les roturiers vivaient dans des quartiers distincts.

Selon Pedro Guillermo Ramón Celis, chercheur postdoctoral Banting au département d'anthropologie de l'Université McGill et auteur d'un article récent dans Ancient Mesoamerica, les preuves suggèrent fortement que la ville a été abandonnée juste avant l'arrivée des Espagnols et que ses habitants se sont déplacés à seulement 20 kilomètres de là, à Tehuantepec, une petite ville où leurs descendants vivent encore aujourd'hui.
(...)
« Jusqu'à très récemment, personne n'aurait pu découvrir toute l'étendue du site sans passer des années sur le terrain à marcher et à chercher. Nous avons pu le faire en deux heures en utilisant du matériel de télédétection et en effectuant un balayage à partir d'un avion.

Les baleines à bosse chantent comme les humains parlent

Les mots qui circulent le plus [dans une langue] sont courts et banals. Ils suivent une règle statistique remarquable, universelle dans toutes les langues humaines : le mot le plus courant, « the » en anglais, est utilisé environ deux fois plus souvent que le deuxième mot le plus courant (« of » en anglais), trois fois plus souvent que le troisième mot le plus courant (« and »), et ainsi de suite.

Aujourd'hui, une équipe internationale et interdisciplinaire de scientifiques a découvert que les chants complexes des baleines à bosse, qui peuvent se propager rapidement d'une population à l'autre, suivent la même règle, connue sous le nom de loi de Zipf.

Les scientifiques prennent soin de préciser que le chant des baleines n'est pas équivalent au langage humain. Mais ils estiment que ces résultats suggèrent que des formes de communication vocale complexes et transmises culturellement peuvent avoir des propriétés structurelles communes.

Découverte de tunnels secrets, visibles dans des dessins de Léonard de Vinci

De mystérieux passages souterrains esquissés par Léonard de Vinci ont finalement été identifiés sous le château des Sforza à Milan. Les experts qui ont trouvé ces tunnels, qui font partie des premières défenses militaires, suggèrent qu'il pourrait y avoir encore plus de structures à découvrir.

La construction du château des Sforza, qui se trouve au cœur de l'actuelle ville de Milan, a commencé au milieu des années 1300. Au fil des siècles, il a été agrandi, modifié et en partie démoli. Aujourd'hui, il ne reste qu'un sixième du château original. Vers 1495, le seigneur de Milan engagea Léonard de Vinci et d'autres artistes pour décorer les murs intérieurs et les plafonds du château. Pendant cette période, Léonard de Vinci a dessiné des fortifications défensives qui ressemblent étrangement au château des Sforza, y compris de multiples passages qui avaient été perdus par le temps, jusqu'à aujourd'hui.

« Il existe encore des passages souterrains, dont certains sont ouverts au public », a déclaré Francesca Biolo, historienne de l'architecture à l'Université polytechnique de Milan, à Live Science dans un courriel, mais “il est devenu évident que ces passages pourraient être beaucoup plus nombreux que ce qui est actuellement connu et accessible”.
(...)
Ces passages nouvellement découverts font probablement partie de ceux illustrés dans le croquis de Vinci de 1495.

« Léonard de Vinci connaissait très bien les structures militaires et les systèmes défensifs de son époque », explique M. Biolo. Dans son croquis, le corps principal du château est clairement reconnaissable, ainsi que de nombreux passages. « Cela dit, il n'est pas possible de déterminer l'étendue exacte de l'implication de Léonard dans les structures de la forteresse milanaise », a-t-elle ajouté.

Une étude internationale révèle que les tourbières et les mangroves sont essentielles pour réduire les émissions de carbone en Asie du Sud-Est

Bien qu'ils n'occupent que 5 % des terres émergées de la région, ces écosystèmes jouent un rôle considérable dans les efforts de réduction des émissions, ce qui les rend indispensables pour atteindre les objectifs climatiques des pays de l'ANASE.

L'étude, menée par une équipe internationale de scientifiques de NUS, avec des contributions de l'université technologique de Nanyang à Singapour (NTU Singapore) et de l'université James Cook en Australie, met en évidence les avantages significatifs pour le climat de la conservation et de la restauration des tourbières et des mangroves.

Ensemble, ces écosystèmes stockent plus de 90 % de leur carbone dans les sols plutôt que dans la végétation, ce qui en fait l'un des puits de carbone naturels les plus efficaces au monde.

Cependant, lorsqu'ils sont perturbés ou détruits par des activités telles que les changements d'affectation des sols, ces écosystèmes libèrent d'importantes quantités de carbone dans l'atmosphère, ce qui constitue un obstacle majeur à la réalisation des objectifs de réduction des émissions.

En outre, la dégradation des tourbières pendant les périodes sèches, telles que celles associées à El Niño, entraîne non seulement des émissions massives de carbone, mais contribue également à la formation de brume sèche régionale, qui affecte la qualité de l'air dans des pays tels que Singapour.

Le professeur associé Massimo Lupascu, chercheur principal et auteur principal de l'article, a expliqué : « Si nous conservions et restaurions les tourbières et les mangroves denses en carbone de l'Asie du Sud-Est, nous pourrions atténuer environ 770 mégatonnes d'équivalent CO2 (MtCO2e) par an, soit près du double des émissions nationales de gaz à effet de serre de la Malaisie en 2023. »

Une scientifique britannique remporte un prix pour une invention qui pourrait permettre d'éviter le "phosphogeddon"

C'est l'une des substances les moins appréciées de la planète et son utilisation abusive menace aujourd'hui de provoquer un désastre environnemental. Le phosphore est un composant essentiel des engrais qui sont devenus vitaux pour l'alimentation mondiale. Mais dans le même temps, la diffusion de ces composés phosphorés - connus sous le nom de phosphates - dans les rivières, les lacs et les cours d'eau entraîne la prolifération d'algues qui tuent les stocks de poissons et la vie marine à grande échelle.

Il s'agit d'un décalage frappant auquel s'attaque aujourd'hui un projet d'une simplicité remarquable. La société Rookwood Operations, basée à Wells, dans le Somerset, a lancé un produit qui permet d'extraire les phosphates des zones à problèmes et de les réutiliser sur les terres agricoles.

Cette semaine, l'une des fondatrices de l'entreprise, Jane Pearce, se verra décerner le prix « Innovate UK Women in Innovation », doté de 75 000 livres sterling, pour le rôle qu'elle a joué dans la mise en place du projet. « Notre produit a un objectif simple : transférer les phosphates des rivières et des lacs, où ils causent de réels dommages, vers les terres agricoles, où ils peuvent être utilisés pour la culture », a déclaré Mme Pearce à l'Observer la semaine dernière.

La clé de cet intrigant transfert est une substance simplement appelée « matériau d'élimination des phosphates » ou MRP. Récemment mise au point, elle est sur le point de faire l'objet d'essais avec une société locale de distribution d'eau dans le Somerset, qui seront suivis dans quelques mois par des essais avec une société nationale.

Les rizières de l'extrême sud innovent contre le changement climatique

Ce riz, venu des pays les plus au sud, n'est pas un miracle de la nature, mais d'un groupe de chercheurs de l'Institut interaméricain de coopération pour l'agriculture (IICA) et de l'Institut national chilien de recherche agricole (INIA) qui procèdent à des modifications génétiques pour rendre la plante Oryza sativa, le riz asiatique, plus résiliente au changement climatique et moins polluante.
Ils sont parvenus à en produire avec la moitié des ressources en eau normalement utilisées. En d'autres termes, ils ont réduit la consommation d'eau de 23 000 à 12 000 mètres cubes par hectare, en moyenne, par saison.
(...)
L'objectif est que cette formule chilienne d'adaptation du SRI soit utilisée à grande échelle à l'avenir.
Le résultat est un riz aérobie, c'est-à-dire un riz cultivé sur des sols ni inondés ni saturés et bien drainés. Pour les chercheurs, il s'agit d'une alternative pour l'atténuation des effets du changement climatique et ils s'efforcent d'obtenir davantage de données scientifiques à ce sujet, dans l'intention d'en faire une proposition d'adaptation au changement climatique pour d'autres pays.

Lotin a écrit : ↑ven. févr. 14, 2025 8:57 am Heureusement que les technologies sont autonomes et n'ont pas besoin de la main de l'Homme pour bosser à notre place, nous les archéologues.

Un petit peu agacé par ce genre de présentation mettant en titre l'outil en avant au lieu des chercheurs.

Dr Hiatus a écrit : ↑ven. févr. 14, 2025 1:07 pm
J'avoue que j'ai pas réussi cette adaptation de titre.
Disons : la news est intéressante avec mais pas seulement par la partie tech. Vérifier en deux heures ce que tu aurais mis des semaines à trouver, c'est en soi impressionnant. Mais je suis aussi impressionné par le côté "on croyait que c'était un petit fortin, en fait c'est une cité", qui doit contenter le chercheur encore plus que le badaud que je suis.
J'ai pas trouvé de rédaction adaptée.
Récolter les cerises (trier, sourcer, citer, deepltrader-corriger, présenter, diffuser) est un hobby à part entière, mais je reste totalement amateur - nul besoin de le préciser, sans doute.
 

XO de Vorcen a écrit :Tiens, aujourd'hui, @Lotin, utilisez vous le drone dans vos fouilles ? En dotation ou en matos perso parce que marre d'en attendre ?