TORG sur lequel Tristan s’enthousiasme en revanche nettement plus (même s’il me semble qu’il n’a jamais contribué sur ce jeu ?)
Non, c'était plus le domaine d'Anne. Sa traduction l'a beaucoup occupée dans les premiers mois de 1990. Comme on était voisins et que j'avais intégré son groupe de joueurs vers 1988, j'y ai pas mal joué chez elle, et oui, c'est un jeu que j'aimais bien...
No man’s land pour l’AdC de @Tristan marque le début de l’ère de Lhomme, près de 3 ans après la publication de sa première œuvre (et certes encore un an avant la publication de la suivante) : beaucoup plus dans le canon Appel de Cthulhu que le précédent qui se voulait davantage un hommage au Maître de Providence, on retrouve la patte de l’auteur à la fois avec un clin d’œil à l’œuvre de Lovecraft en réutilisant un de ses célèbres protagonistes comme PNJ, et une vraie œuvre personnelle avec un scénario qui se déroule fin 1918 dans une France qui sort à peine de la boucherie de la Première Guerre Mondiale.
Ce délai de trois ans est non-significatif

J'ai proposé No Man's Land très tôt après mes premiers scénarios – chronologiquement, ça doit être le troisième ou quatrième que j'ai écrit. Il s'est juste trouvé qu'il a dormi sur le bureau de Didier pendant un an et demi ou deux ans. De temps en temps, je demandais des nouvelles, mais il n'était pas au programme... jusqu'au jour où il l'a été.
Sur treize ans de Casus, j'ai deux textes qui ont disparu dans le warp comme ça : No Man's Land au début, et un article sur le théâtre et les baladins, qui a dû attendre trois ou quatre ans avant d'être publié in extremis dans l'un des derniers numéros...