Partie de 7th Seas hier soir.
On a infiltré une soirée de la Guilde Marchande de Vendel, pour y voler un objet, sachant que le Rilasciare allait faire sauter la baraque et ses convives à minuit.
Un de nos contact nous avait aussi demandé de sauver une invitée: la chef des Jennys (bon contact non?).
Bref, déguisé, on s'infiltre, prend contact avec la Jenny et négocions avec elle la rencontre discrète avec le maître de maison. On monte donc à l'étage en comité restreint pour admirer sa collection d'objet syrneth.
Au passage, profitant de son érudition, je l'interroge sur d'étranges objets qui avaient croisé notre route auparavent. Ce n'est malheureusement pas très concluant.
Puis un majordome donne un prétexte pour que la Jenny nous laisse avec la cible. Là, je sort ma lame dissimulé et braque l'homme. On récupère l'objet (et du pognon au passage; on se refait pas) et dissimule, assommé, la cible sous son lit.
Envisageant moult plans pour sortir de la maison discrétement avant son explosion, l'imprévu frappe à la porte sous la forme d'émissaires castillan. J'embobine le majordome avec une histoire de coucherie du patron, cadeau des Jennys, mais l'émissaire franchit le pas de la porte.
Assez pour que je reconnaisse l'inquisiteur qui nous avait arreté et torturé, volé notre carte au trésor, et lancé ses troupes à nos trousses.
Et il est face à moi.
Le combat s'engage, ses hommes rentrent et je suis seul, ma collègue dissimulée dans la chambre voisine. Je prend cher sur les premières passes (2 blessures graves dans le round!), mais la castillane sort de la chambre et plante sa lame dans le bras de l'inquisiteur. Celui ci hurle de douleur. Elle le reconnait, son tortionnaire, et est paralysée de trouille.
Mais celà fait pencher le combat en notre faveur. Malgré son fouet clouté et les gardes qui viendront se mêler au combat, on arrivera à tomber le méchant.
Séquestré dans la chambre, il faut maintenant s'enfuir. D'une porte dérobée, le chef des terroristes nous appelle et réussi à nous faire sortir de la bibliothèque, non sans que je chaparde subtilement 3 objets syrneths au pif.
De nouveau dans la salle de réception, déguisé en serveur, j'avertis la Jenny qu'il faut décarrer illico. Sauf que les anar' lancent leur opération en même temps. Des gardes foncent sur les terroristes infiltrés parmi les fétards, et d'autres bloquent les issus.
On arrive à la pointe de l'épée à se frayer un passage, alors qu'une ancienne connaissance Vodacce suit, avec visiblement ses propres ennuis aux fesses.
Par un malentendu, ils croient qu'on soutient leurs cibles (alors qu'on s'en fout terrible!) et devons nous battre contre eux.
La baston finit quand le manoir vole littéralement en éclat!
Sans mal, nous échappons et rejoignons une planque prévue à cet effet.
Évidement, on entend la panique dans la rue au petit matin. Il paraîtrait que l'on est recherché, comme responsable de l'attentat.
Bref, une partie finalement courte (3h) ou malheureusement le groupe a été coupé en 2 (mais les autres n'ont RIEN fait non plus pour essayer de nous rejoindre
) et qui nous a vue tomber l'un de nos Nemesis les plus flippante. Biensur, on s'attend à se qu'il réapparaisse au plus mauvais moment...
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). Du coup en le relisant, et en relisant les infos sur les Lèches-Grenouilles, ils tombent sur l'histoire de Vorak, le gobelin cannibale. Et là, hop, une seconde idée greme: pour sceller leur alliance, ils iront tuer Vorak pour les Lèche-Grenouilles. Personnellement, j'avais totalement oublié ce Vorak, mais voilà une piste que j'allais me faire un plaisir de développer.