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Re: [Sciences] Y'a t-il des briques de la Vie au fond d'un puit gravitationnel?

Publié : mar. déc. 23, 2025 11:48 am
par cdang
Rémi Brancato, « Des maladies très différentes comme la schizophrénie, les troubles bipolaires ou l'anorexie partagent des gènes communs », France Inter, 23 décembre 2025
https://www.radiofrance.fr/franceinter/ ... ns-9755480

La publi originale (payante) :
Max Kozlov, « Huge genetic study reveals hidden links between psychiatric conditions », Nature, 10 décembre 2025
doi:10.1038/d41586-025-04037-w
https://www.nature.com/articles/d41586-025-04037-w

Re: [Sciences] Y'a t-il des briques de la Vie au fond d'un puit gravitationnel?

Publié : mar. déc. 23, 2025 4:31 pm
par cdang
Le savoir scientifique est privatisé par les revues, qui collectent les articles produits avec les subventions d'État, rédigés bénévolement, en ajoutant juste une couche de relecture par des pairs — étape indispensable à la science, si toutefois elle est bien faite... — pour ensuite revendre ce savoir.

Et les publications servent ensuite à comparer les universités entre elles, et à déterminer le mérite des chercheurs et chercheuses.

Vous voyez le problème ?

Il y avait déjà le contournement par arXiv, la publication des articles bruts (sans relecture par des pairs). Et on progresse sur le sujet en France...

« Le CNRS s’émancipe du Web of Science », CNRS, 1er décembre 2025
https://www.cnrs.fr/fr/actualite/le-cnr ... eb-science


À partir du 1er janvier 2026, le CNRS coupera l’accès à l’une des plus importantes bases bibliométriques commerciales : le Web of Science de Clarivate Analytics, ainsi que les Core Collection et Journal Citation Reports.

Re: [Sciences] Y'a t-il des briques de la Vie au fond d'un puit gravitationnel?

Publié : mar. déc. 23, 2025 6:29 pm
par Deimoss
Bien, il est plus que temps d'étrangler ces revues parasites qui ont créé une dynamique délétère avec leur publish or perish, donné naissance aux revues prédatrices et ne répondent pas aux exigences de vertu avec des retraits d'articles frauduleux bien trop tard et leur publication en premier lieu alors qu'il faudrait en amont une véritable relecture afin d'éviter que des saloperies comme l'étude de Wakefield ne puisse être publiées.