Re: [CR]Terres barbares: comment je mène mon sandbox T&T2
Publié : jeu. avr. 02, 2015 10:19 am
Le CR de notre dernière partie:
Et comme j'ai pas pris le temps de préparer la session, je vais faire comme la dernière fois.Lettre de Saïph, diplomate et conseillé commerciale de la communauté de St Ulcire sur Suante à son oncle et mentor XXX.
Mon cher oncle,
Comme je te le signifiais dans ma dernière missive , nous sommes avons finalement mis Chintieh, le mage fourbe à la solde de Cormallen, en fuite et Alcina a pu ainsi acquérir les livres-clés qu’elles cherchait tant. C’est avec une légère déception dans le regard que nous laissions les ruines de San Minartan derrière nous et reprenions le Victoire II pour rejoindre notre foyer. Ma hutte est bien vide sans la présence parfois un peu rustre d’Umumgal, mais j’ai réorganisé un peu les meubles et la décoration des différentes pièces pour me sentir de nouveau chez moi. Je n’ai désormais plus cette sensation d’absence constante que j’avais ressenti quelques semaines après le combat meurtrier contre le Vampire Stokre. Néanmoins, la solitude des diners et des soirées calmes commencent à me peser.. Je pense qu’il est temps que je me trouve une compagne.
A notre arrivée à Saint Ulcire sur Sinuante, nous furent accueilli par Gartour le chamane du clan Sangrelin de feu Kaydash et considérant aujourd’hui mon ami naingénieur Nenkhefté comme leur nouveau chef. Le sangrelin était accompagné d’une demi-douzaine de membre du clan en atours traditionnel et dont les peintures de guerre couvraient leurs visages et plusieurs parties du corps. Ils étaient venus dans le but préparer Nenkhefé à je ne sais quels rites de passage pour qu’il puisse un jour rencontrer dans un futur proche Baol le maître de guerre du clan des écailles d’argent.
A ma grande surprise, lorsqu’il fallut au nain guerrier dargon nommer deux personnes, qui le soutiendraient dans les épreuves qui l’attendaient, il choisit Alcina et moi. Et c’est sans tarder que nous firent nos bagages pour rejoindre le campement du clan sangrelin de kaydash.
C’est avec un rythme de marche soutenue qui semblât fortement affectée Alcina, que nous arrivâmes en vue de du campement. L’endroit s’est bien amélioré depuis la dernière venue de Nenkhefté Une porte en bois délimite l’entrée et une estrade a été montée au centre des tentes et huttes. En son centre, entourée de peaux tendu, trône un large foyer qui en fait le lieu de repas communs. Nous apprenons que Nenkhefté va devoir passer plusieurs épreuves avec d’autres jeunes sangrelins dès le lendemain. Apparemment, il s’agissait des rites de passage à l’age d’adulte de tous sangrelins du clan. En guise de lancement aux épreuves un banquet fut organisé où l’alcool fort nous fut servi à volonté. Cela, ne posa aucun problème à mes compagnon et moi-même. On en a vue d’autre avec les festins des Lézadins de Sablenoir.
Près de la palissade au point du jour, la première épreuve commença : l’épreuve de rapidité. Le maître de cérémonie transforma plusieurs javelots en oiseaux et les jeta au loin dans la plaine avec comme instruction que chacun des concurrents en ramenât le plus rapidement possible. Evidemment, il y avait plus de concurrents que de javelots. Les accompagnants, avaient pour charge d’aider de quelles que manières que ce soient les participants. Alcina communia avec les esprits de la forêt et m’indiqua une direction à suivre, je trouvais rapidement le javelot et Nenkhefté s’en empara reparti aussitôt vers le campement à toutes jambes. Sur le chemin du retour, j’aperçu de loin un vieux sangrelin boiteux essayait de s’interposer, mais Nenkefthé l’envoya valser les quatre fers en l’air d’une prise d’art martial nain et arriva premier de l’épreuve.
Après le repas eut lieu l’épreuve de la chasse. Encore une fois Nenkhefté triompha, il amena avec mon aide et celle d’alcina une tête d’un ours brun qu’il tua à mains nues. Il faillit, néanmoins se faire ravir la première place par le sangrelin en charge de chasser un hibou. Le diner se déroula rapidement, et nous vîmes qu’une tente de sudation avait été montée au centre du camps. Dieu sait ce qui se passa exactement à l’intérieur. Mais il semble que Gartour raconta les contes et légendes des hordes sangrelines, de Trender le Troll et de Grisdash tandis que l’air sous la tente devenait progressivement irrespirable. Puis, je ne sais par quel artifice magique notre ami nain ingénieur fut confronté à son totem : le dragon. L’épreuve laissa Nenkhefté, quasi-inconscient et incapable de parler tellement ses voies respiratoire étaient douloureuses. A peine le temps de penser les plaies de notre amis que commençait la dernière épreuve.
Une croix métallique avait été dressée au-dessus du foyer au milieu de l’estrade. Aux quatre extrémités de la croix se tenait un concurrent. Leurs pectoraux étaient reliés par deux chaines à l’édifice métallique. A force de persévérance au bout d’une lutte qui me parue interminable, Nenkhefté parvint à faire tomber un des jeunes sangrelins dans le feu et l’épreuve prit fin. Nenkhefté, s’avança aussitôt au milieu des braises et du feu et poussa un hurlement semblant directement provenir d’un dragon, puis il s’effondra.
J’appris pas la suite que Gartour fit un tatouage de dragon en mythril à Nenkhefté et que le clan se nommerai désormais… le clan du Dragon.
Je dois laisser là mon récit de mes aventures avec la troupe de Saint Ulcire.
A bientôt mon cher Oncle.
Ton dévoué Saïph.
Rapport de l’éclaireur Keen, observateur d’Estande.
Comme prévu l’escadron a attaqué la cité de Saint Ulcire sur Sinuante. La troupe était donc composée essentiellement de cavalier monté sur des Volmous.
Rapidement deux d’entre ont abattu deux villageois, et ce sont dirigés vers l’objectif majeur c’est-à-dire le zeppelin mécanique arrimé à une distance raisonnable du village.
Les habitants ne mirent pas longtemps à réagir. La mage wolfen invoqua une tempête de glace pour gêner l’escadrille et tandis qu’un nain armé d’une arbalète abattait plusieurs d’entre nous. Un hydrion surgit soudain d’un trou non loin de là et mis à mal ce qu’il resté de volmous et de leurs archers montés. Ce fut une débâcle. Un goupil ennemis tenta de libérer la monture de nos deux soldat qui avait investi le zeppelin, mais en vain. Car l’un d’eux parvint à s’échapper avec le composant que nous recherchions avant d’y mettre le feu. Helas, le deuxième fut fait prisonnier.
Fin de rapport, attente des ordres avant de rentrer au quartier général.
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