Je rajouterais, même si nous ne sommes qu'à quelques heures des premières frappes, que :
- les israéliens ne vont pas envahir l'Iran ;
- les israéliens ne font pas de frappes indiscriminées sur les villes iraniennes, contrairement à ce que pratique la Russie en Ukraine.
Maintenant, à Gaza, c'est autre chose...
Cela dit, là ou je serais plus méfiant, c'est sur la manière dont cet argument (le deux poids, deux mesures), risque d'être reçu dans d'autres parties du globe.