Le bruit qu'il fait dans le vide-ordure.
Les livres dont vous n'êtes pas le héros (et sans image)
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Re: Les livres dont vous n'êtes pas le héros (et sans image)
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Ramentu
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Re: Les livres dont vous n'êtes pas le héros (et sans image)
C'est l'avantage des version ebooks, on peut les envoyer à la corbeille à répétition sans effort
Je suis contre brûler des livres. Donc pas d'allumage de barbecue. Mais c'est un des auteurs dont j'achèterais une intégrale sur papier WC si ça ne lui rapportait pas d'argent.
C'est étrange, parce que j'ai lu (et trouvé des qualités à) une quantité astronomique de navets objectivement pire - Dan Brown est juste banalement mauvais. Ça doit être le contraste avec le succès planétaire qui provoque la révulsion.
Ce et le fait que traiter aussi mal les thèmes de l'occulte et de la conspiration, ça fait mal à mon cœur de rôliste.
Un livre de Dan Brown, c'est un scénario de l'AdC improvisé un soir de semaine après une longue journée de travail et joué par des joueurs tout aussi fatigués. L'aspect social en moins.
Je n'en ai lu que 3, Da Vinci Code, Angels & Demons (qui est pire, je trouve); et deception point dont je suis incapable de me remémorer le moindre détail hormis le titre - je ne me souviens même plus si je l'ai fini...
Bon je vais leur trouver une qualité pour répondre à la question : c'est ecrit en bon anglais. DB a enseigné l'anglais je crois, ça aide.
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Re: Les livres dont vous n'êtes pas le héros (et sans image)
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Re: Les livres dont vous n'êtes pas le héros (et sans image)
Je recommande Guerre et Paix.
Comment ça, c'est pas de lui ?
Cryoban a écrit : Le vrai problème c'est les gens.
Florentbzh a écrit : J'avoue ne pas bien comprendre ce qu'on peut jouer, mais si cela existe c'est qu'il doit bien y avoir une raison.
Mildendo a écrit : Faire du Jdr c'est prendre une voix bizarre et lancer des dés en racontant qu'on tue des gobs.
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Ca va être dur d'obtenir des réponses sérieuses
Il a une voix nasillarde qui plaira pas à tout le monde mais il a sorti des purs banger.
Comment ça, il écrit des romans en plus ?
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Re: Les livres dont vous n'êtes pas le héros (et sans image)
J'ai lu le Da Vinci Code en 2006... Ce qui me plaisait c'est que ça me faisait un bon sujet de conversation avec une collègue blonde particulièrement charmante. A part ça...
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Re: Les livres dont vous n'êtes pas le héros (et sans image)
Ce n'est pas vrai que ses bouquin sont guère épais.
C'est marrant, c'est un auteur que j'ai toujours regardé de loin, comme s'il était radioactif. Sans raison valable, puisque je n'ai même pas vu les adaptations ciné.
Heureux détenteur d'un point CLETCSOOEF (cf Le merlock)
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Re: Les livres dont vous n'êtes pas le héros (et sans image)
Jiohn Guilliann a écrit : ↑ven. nov. 07, 2025 10:17 am
Ce n'est pas vrai que ses bouquin sont guère épais.
C'est marrant, c'est un auteur que j'ai toujours regardé de loin, comme s'il était radioactif. Sans raison valable, puisque je n'ai même pas vu les adaptations ciné.
C'est l'une des raisons qui me poussent à le lire : on prend tant de plaisir à en dire du mal que ça finit par mériter l'effort d'en lire un pour voir. Là, je me suis lancé dans le Secret des secrets. Et ça a, globalement, des qualités équivalentes à un Marc Lévy : c'est vraiment moins bien écrit mais il y a visiblement un bout de scénario dedans. Pas folichon, mais un bout quand même. Plus que dans, par exemple, The Fantom Menace.
Va prophétiser ailleurs, c'est interdit dans le centre ville !
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Re: Les livres dont vous n'êtes pas le héros (et sans image)
Je garde un mauvais souvenir du Da Vinci Code.
J'ai oublié les énigmes et autres à part que ça ne m'avait pas marqué par leur ingéniosité.
Je retiens surtout une mécanique de l'auteur où les personnages principaux sont au courant de chose que le narrateur ne raconte pas. L'idée n'est absolument pas une construction habile particulière du roman. Juste une façon de faire durer le suspens. Et il le fait plusieurs fois. Et une fois, plusieurs fois pour la même scène.
"Et elle se rappela ce truc qui l'avait tellement marqué".
P'tain mais raconte, fais pas ton crevard !
Un cache misère.
Adj
J'ai oublié les énigmes et autres à part que ça ne m'avait pas marqué par leur ingéniosité.
Je retiens surtout une mécanique de l'auteur où les personnages principaux sont au courant de chose que le narrateur ne raconte pas. L'idée n'est absolument pas une construction habile particulière du roman. Juste une façon de faire durer le suspens. Et il le fait plusieurs fois. Et une fois, plusieurs fois pour la même scène.
"Et elle se rappela ce truc qui l'avait tellement marqué".
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Re: Les livres dont vous n'êtes pas le héros (et sans image)
Je déteste ce procédé, c'est la raison pour laquelle je vomis la série Lost, entre autres.Adj a écrit : ↑ven. nov. 07, 2025 1:44 pm Je garde un mauvais souvenir du Da Vinci Code.
J'ai oublié les énigmes et autres à part que ça ne m'avait pas marqué par leur ingéniosité.
Je retiens surtout une mécanique de l'auteur où les personnages principaux sont au courant de chose que le narrateur ne raconte pas. L'idée n'est absolument pas une construction habile particulière du roman. Juste une façon de faire durer le suspens. Et il le fait plusieurs fois. Et une fois, plusieurs fois pour la même scène.
"Et elle se rappela ce truc qui l'avait tellement marqué".
P'tain mais raconte, fais pas ton crevard !
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Re: Les livres dont vous n'êtes pas le héros (et sans image)
Bon plus sérieusement j'avais lu Da Vinci Code parce que ma soeur me l'avait offert "parce que j'aimais l'Histoire".
On peut aussi dire à un astronome qu'il va aimer Star Wars parce que ça se passe dans l'espace, hein.
Sinon à part une enfilade de clichés, de sociétés ésoterico-secrètes de la mort, de grand secret tabou
... j'ai pas retenu grand chose.
Sinon qu'il a fini dans une cabane à livres.
On peut aussi dire à un astronome qu'il va aimer Star Wars parce que ça se passe dans l'espace, hein.
Sinon à part une enfilade de clichés, de sociétés ésoterico-secrètes de la mort, de grand secret tabou
Spoiler:
Sinon qu'il a fini dans une cabane à livres.
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Re: Les livres dont vous n'êtes pas le héros (et sans image)
Oui, le genre de livre qui erre lamentablemement de rbnb en rbnb avant d'échouer, ivre, en cabane à livre.
Mais je ne serais pas aussi négatif que vous.
Si Da Vinci Code est bien un mauvais bouquin, son adaptation cinématographique est bieeeeen pire.
Mais je ne serais pas aussi négatif que vous.
Si Da Vinci Code est bien un mauvais bouquin, son adaptation cinématographique est bieeeeen pire.
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Re: Les livres dont vous n'êtes pas le héros (et sans image)
D'ailleurs, à part le pendule de foucault vous auriez de bons livres avec des complots esoterico occultes à conseiller ?
ok on a rien a se dire, mais on a tout le temps de trouver avant que le réchauffement climatique nous tue tous.
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Re: Les livres dont vous n'êtes pas le héros (et sans image)
J'ai lu la Formule de Dieu du Dan Brown portugais. Et c'est tout moisi.
Va prophétiser ailleurs, c'est interdit dans le centre ville !
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Re: Les livres dont vous n'êtes pas le héros (et sans image)
Salut !
Il y a parfois de bonnes surprises. Fâché avec l'auteur, je ne m'attendais pas du tout à ce coup de coeur. En effet, j'ai "aimé' - mais est-ce le mot adapté ? - la lecture de Vallée du Carnage de Romain Lucazeau, sorti depuis peu au format poche, chez FolioSF.
L'auteur puise dans toutes ses connaissances, qu'elles soient historiques ou philosophiques, sans oublier sa participation à la Red Team, pour nous faire envisager la guerre du futur proche. Il utilise la méthode de l'uchronie, dans une réalité alternative où les empires antiques ne se seraient jamais effondrés. La Perse est l'acteur central du texte, se livrant à une guerre totale et éternelle aux Carthaginois et Han dans un monde tripolaire. Les descriptions sont glaçantes entre les attaques de drônes, nucléaires, au corps à corps, ainsi que les crimes de masse et de guerre, où le viol (re)devient une pratique banalisée. Le tutoiement qu'emploie Lucazeau met les personnages face à leurs responsabilités, et ce peut importe le rôle qu'ils jouent dans ce système d'hécatombe. Il faudrait une liste de warnings qui occuperait une place complète mais je suis encore un peu plus convaincu - et ça n'était pas nécessaire - que la guerre n'est jamais belle, et qu'elle profite toujours aux mêmes.
Résumé éditeur :
Orode, Roi des Rois, souverain perse, veut soumettre la cité d’Ecbatane, qui, avec le soutien de Carthage, résiste à son siège depuis sept ans.
Orode ne reculera devant rien pour accomplir son rêve d’hégémonie perse. Il a déjà réduit en esclavage les peuples conquis, ordonné la mise en place du plus vaste système concentrationnaire ayant jamais existé, affirmé son joug dans la propagande et la cruauté. Il se fait vieux ; il ne lui manque qu’un ultime acte de gloire. Mais, de son côté, Carthage se prépare : lorsque se rencontreront missiles et soldats transhumains, feu nucléaire et arsenal spatial, il ne restera sans doute que des cendres.
Chronique complète

Il y a parfois de bonnes surprises. Fâché avec l'auteur, je ne m'attendais pas du tout à ce coup de coeur. En effet, j'ai "aimé' - mais est-ce le mot adapté ? - la lecture de Vallée du Carnage de Romain Lucazeau, sorti depuis peu au format poche, chez FolioSF.
L'auteur puise dans toutes ses connaissances, qu'elles soient historiques ou philosophiques, sans oublier sa participation à la Red Team, pour nous faire envisager la guerre du futur proche. Il utilise la méthode de l'uchronie, dans une réalité alternative où les empires antiques ne se seraient jamais effondrés. La Perse est l'acteur central du texte, se livrant à une guerre totale et éternelle aux Carthaginois et Han dans un monde tripolaire. Les descriptions sont glaçantes entre les attaques de drônes, nucléaires, au corps à corps, ainsi que les crimes de masse et de guerre, où le viol (re)devient une pratique banalisée. Le tutoiement qu'emploie Lucazeau met les personnages face à leurs responsabilités, et ce peut importe le rôle qu'ils jouent dans ce système d'hécatombe. Il faudrait une liste de warnings qui occuperait une place complète mais je suis encore un peu plus convaincu - et ça n'était pas nécessaire - que la guerre n'est jamais belle, et qu'elle profite toujours aux mêmes.
Résumé éditeur :
Orode, Roi des Rois, souverain perse, veut soumettre la cité d’Ecbatane, qui, avec le soutien de Carthage, résiste à son siège depuis sept ans.
Orode ne reculera devant rien pour accomplir son rêve d’hégémonie perse. Il a déjà réduit en esclavage les peuples conquis, ordonné la mise en place du plus vaste système concentrationnaire ayant jamais existé, affirmé son joug dans la propagande et la cruauté. Il se fait vieux ; il ne lui manque qu’un ultime acte de gloire. Mais, de son côté, Carthage se prépare : lorsque se rencontreront missiles et soldats transhumains, feu nucléaire et arsenal spatial, il ne restera sans doute que des cendres.
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[url=https://mondesdepoche.fr/]Mondes de poche[/url] - retours de lectures SFFF au format poche.