Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!

[Killing Joke]

Predator : Killer of Killers, un animé sur le thème de l'univers, par le réalisateur de Prey (et du futur Predator: Badlands), Dan Trachtenberg.
Plusieurs critiques sont désastreuses (dont celle d'Ecran Large) : https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... que-disney

Je l'ai pour ma part trouvé inégal mais pas inintéressant.

En quatre chapitres (thématiques "Viking", "Samuraï", "WW2", puis arc conclusif), un peu inégaux (les chapitres thématiques - assez courts - sont assez caricaturaux et copiés-collés sur leurs principes narratifs). L'arc conclusif est également très prévisible (mais un cran au dessus des arcs thématiques), mais, mais, mais, malgré la somme de tous ces éléments bancals le tout passe plutôt bien au final, et, notamment, introduit pas mal d'éléments dans la "mythologie prédatorienne" pas inintéressants. Quelques références légères à certains points précis d'autres épisodes font qu'on n'est (ouf) pas envahi de fan-service tout du long.



Ne plaira pas à tout le monde, ni visuellement (pas moche, mais animation saccadée), ni sur le fond (quelques "suspensions d'incrédulités" qui font tiquer, intrigue un peu light et répétitive, donc), mais finalement à voir et sans doute que c'est un film/animé qui sera soit détesté, soit apprécié.

[Rosco]

Y a pas de reseau film.francais avec gerad jugnot et maxime gasteuil, aka la version haute pyrennée de maman j ai rate l avion.
Le pitch une famille recompose viens paße le week end dans une villa de luxe dàs les pyrennées.
Le lendemain matin les enfants profitent du sommeil des parents pour explorer ils topbent alors sur des gangsters .
Les parents a la recherche des enfants abandonnet ma villa qui servora de fortins aux enfants.

Comedie familialle, pas la meilleure, pas la pire, plein d'easter.eg cinematographique


Et perso j ai un petit kiff pour le commerce du village

Spoiler:

epicerie, boulangerie, tabac, presse, pharamcie tenue par la bigade de gendarmerie

[Islayre d'Argolh]

Ouep, et dans ballerina au moins y a plus les vestes pare-balles..

Beh... Si, un peu...
Bon, après moi j'ai trouvé le 4 excellent, et j'ai vu pas vu les 2 premiers.
Mais je connaissais le personnage avant, dans sa période med-fan japonisante.

Aaaah une fois vus les précédents, on oublie un peu le dernier. Par Kontr, je ne comprends pas : je vois des affiches de Ballerina avec la tête de Reeves (super stressé : est-ce que j'ai mes points-retraite ?), ne serait-il alors pas plus judicieux de l'appeler Ballerino ?
 

Objection votre honneur !
Grand fan de la franchise (je vais voir Ballerina mercredi avec un de mes meilleurs amis lui aussi membre de l'amicale Wickienne, ça va être le resto-ciné des grands soirs : on est tout foufous) il me parait évident que s'il faut les classer dans un ordre qualitatif ce serait : 2 puis 1 puis 4 puis 3.
Le 3 (parabellum) c'est vraiment, pour moi, le maillon faible de la saga.

Ballerina se déroule in universe entre le 3 et le 4 et John n'y fait qu'un caméo de manière a établir une continuité.

[Ganelon]

Les quatre piliers de mon univers mental menacent de s'écrouler, maudite Dalila ! Pour me consol(id)er j'irai voir Ballerina tantôt. À revoir aussi ce film avec Christian Bale, Equilibrium, qui présageait du même pifpaf incessant.

[Pyth]

Petite digression mais Arte vient de diffuser l'excellent doc d'Anne Cutaia et Sophie Peyrard sur la genèse d'Alien, le 8ème passager. Dispo sur Youtube au moins jusqu'au 29/09. Lien ci-dessous, Arte ayant désactivé l'inclusion par iframe, impossible d'importer directement le reportage dans le post.

https://www.youtube.com/watch?v=8nGZrc2KikQ

[Mugen]

Dan Dadan l'Oeil Maléfique
Suite directe de la saison 1, qui est heureusement précédé d'un résumé de celle-ci, assez long, mais dont j'avais bien besoin.
Même si lui aussi s'interrompt avant la fin de son arc, j'ai moins eu l'impression de n'avoir qu'une moitié d'histoire, une partie de l'histoire s'achevant néanmoins.
Ça reste complètement perché et limite scato, même si j'ai l'impression que cet épisode nous introduit celui qui va être le Grand Rival du Héros, dans un pur mode Shōnen.

[Elthaïn]

Aie revu un classique, Porco Rosso (je profite qu'ils le rejouent), et dont j'avais clairement oublié toute l'histoire.
Et pour le coup, ce n'est pas plus mal dans la mesure ou cela m'a permis de le redécouvrir. Et j'ai beaucoup aimé ce Miyazaki, qui, pourtant, ne figure pas parmi ceux qu'ont cite le plus du réalisateur japonais. Outre la part belle qu'il fait aux hydravions, il y a aussi le contexte de ses pilotes de l'entre-deux guerres et leur vie à la fois fascinante mais parfois éphémère. Sans compter la montée du fascisme qui se fait sentir tout au long du récit. Une histoire qui peut être à la fois très enfantine par certains aspects, et traiter de sujets très sérieux, sans tomber dans le pathos pour autant.
Content de l'avoir (re)vu !

[Ganelon]

Revu en famille La Planète des Singes, l'original. L'impression, attendue certes, de faire un tour dans l'Amérique de Trump. C'en est saisissant tellement la démonstration de la stupidité volontaire y foisonne.

[Tgx]

Puisqu'on parle de Miyazaki, quelqu'un a vu ses premières productions Lupin, Cagliostro ? ça vaut quoi ?

[Tybalt (le retour)]

Le Château de Cagliostro, c'est un film fait en trois mois sur un pari, donc l'animation n'est pas du tout aussi léchée que les films Ghibli qui ont suivi. Mais ça se regarde très bien, je trouve, d'autant que le scénario est assez "miyazakien", Lupin apparaît cartoonesque mais très chevaleresque tandis que les aspects du type sexe et alcool sont mis en sourdine (du moins d'après ce que j'ai compris : je ne connais pas du tout l'univers de Lupin III en dehors de ce film). Et le château du titre se souvient du château du Roi et l'Oiseau, un des films qui avaient marqué Miyazaki à ses débuts dans l'animation.
Belle chanson-titre, aussi.

[Mugen]

Aie revu un classique, Porco Rosso (je profite qu'ils le rejouent), et dont j'avais clairement oublié toute l'histoire.
Et pour le coup, ce n'est pas plus mal dans la mesure ou cela m'a permis de le redécouvrir. Et j'ai beaucoup aimé ce Miyazaki, qui, pourtant, ne figure pas parmi ceux qu'ont cite le plus du réalisateur japonais. Outre la part belle qu'il fait aux hydravions, il y a aussi le contexte de ses pilotes de l'entre-deux guerres et leur vie à la fois fascinante mais parfois éphémère. Sans compter la montée du fascisme qui se fait sentir tout au long du récit. Une histoire qui peut être à la fois très enfantine par certains aspects, et traiter de sujets très sérieux, sans tomber dans le pathos pour autant.
Content de l'avoir (re)vu !

C'est le premier Miyazaki que j'ai vu.
J'y était allé franchement à reculons, ces histoires de cochon qui vole ne me donnant pas plus envie que ça...
J'y suis allé dans l'idée de soutenir l'animation nippone, qui à l'époque (1995) avait toujours cette image de produits de merde et violents pour gosses attardés qui condamnait les œuvres un peu plus ambitieuses à une existence quasi underground. On les trouvait, mais uniquement dans des imports US ou UK, et via des produits jugés compatibles avec le goût américain. Akira, Venus Wars, Gunnm, Urotsukidōji...

Ben au final j'y suis retourné 3 fois dans la semaine, avec à chaque fois le même plaisir. Et même si c'était le doublage VF avec Jean Reno, il n'était pas si mal.
C'est, bien plus que le Vent se Lève, une œuvre qui parle de son auteur, qui comme Marco est un passionné d'aviation, et est devenu un cochon en passant son temps à travailler. Et ce n'est pas non plus pour rien que l'on y entend le Temps des Cerises...

Et la chanson de fin, si l'on prend le temps d'en lire les paroles, est magnifique. "Aujourd'hui encore, comme hier, il poursuit son rêve sans fin. Il continue de courir. Quelque part..."

[Gridal]

Hier soir j'ai revu Tchao Pantin de Claude Berri pour la première fois depuis le siècle dernier et comme à chaque fois que je vois un film dans le genre, me vient l'envie de jouer à Zone ou en tout cas une campagne située à cette époque, dans cette ambiance. Du INS/MV par exemple.

Par genre je veux dire "films de galères de zonards dans le Paris crade des années 80". Oui, c'est une niche :lol: mais en même temps tout m'intéresse : comédie, horreur, documentaire, action, n'importe quoi.

Comme vous m'aviez fait découvrir plein de belles choses avec ma précédente marotte ("films qui se déroulent en France durant la Belle Époque"), je reviens vers vous pour de bonnes idées.

Ma liste de films vus, ou en attente de visionnage, pour le moment :

-La Bande du Rex (Jean-Henri Meunier, 1979)
-Simone Barbès ou la Vertu (Marie-Claude Treilhou, 1980)
-Viens chez moi, j'habite chez une copine (Patrice Leconte, 1981)
-Tchao Pantin (Claude Berri, 1983)
-Rue barbare (Gilles Béhat, 1984)
-Marche à l'ombre (Michel Blanc, 1984)
-Subway (Luc Besson, 1985)
-Les Frères Pétard (Hervé Palud, 1986)
-Les Amants du Pont-Neuf (Leos Carax, 1991)
-Antifa, chasseurs de skins (Marc-Aurèle Vecchione, 2008)
-Bye Bye Blondie (Virginie Despentes, 2015)
-Les Passagers de la nuit (Mikhaël Hers, 2022)
-Les Rascals (Jimmy Laporal-Trésor, 2022)

Ça se passe pas à Paris mais ça colle quand même :

-Les Échappées (Jean Rollin, 1981)
-Sans toit ni loi (Agnès Varda, 1985)

[Elthaïn]

C'est, bien plus que le Vent se Lève, une œuvre qui parle de son auteur, qui comme Marco est un passionné d'aviation, et est devenu un cochon en passant son temps à travailler. Et ce n'est pas non plus pour rien que l'on y entend le Temps des Cerises...

Et la chanson de fin, si l'on prend le temps d'en lire les paroles, est magnifique. "Aujourd'hui encore, comme hier, il poursuit son rêve sans fin. Il continue de courir. Quelque part..."

Complétement d'accord avec toi.
Et, à la réflexion, même si je garde un bon souvenir de "Le Vent se Lève", qui, sur le plan technique est supérieur, je crois qu'il lui manque quelque chose que j'appréciais à cette époque de la carrière de Myiazaki : il s'adressait davantage à un public jeune, sans négliger pour autant d'avoir des réflexions qui concernaient les adultes. Mais ses derniers films me semblent moins enfantins, et je me demande si les très jeunes pourraient les apprécier ? Après, ce n'est pas forcément un reproche : Miyazaki a pris de l'âge et son public aussi.

Tchao Pantin, ça fait bien longtemps que je ne l'ai pas vu, et j'y repense de temps en temps, en me disant que ça serait chouette de le voir sur grand écran.

Et vu aujourd'hui Zion, un thriller guadeloupéen. L'histoire est assez simple un jeune homme, qui vit en marge de la légalité, se voit proposer une "belle proposition", à savoir une course, bien payée. Et les choses vont déraper.
Au final, un thriller bien réalisé, sans être pleinement surprenant, et dont la principale originalité est son décor: la Guadeloupe, dans son versant non paradisiaque. Au final, ce qui ressort du film, c'est cette réalité sociale d'une vie du quotidien très dure et violente pour des locaux, ponctués ça et là par une critique de la manière dont l'île est vu par les hexagonaux.

[Sama64]

Vu Alien Romulus , sorti sur Disney+. J'en avais peu d'attente, au final je le trouve pas mal, bien sûr très peu d'innovation, ça reste une resucée du 1er.
J'ai vraiment bien aimé l'intro, hélas trop courte, qui décrit bien l'univers abrutissant des colons/ travailleurs, exploités par WY.
Les images, l'ambiance sont bien rendus.
J'ai beaucoup moins aimé la fin, trop convenue (déjà vue de trop nombreuses fois) et le choix du "boss final".
On peut se demander aussi comment des ados arrivent a dégommer autant d'Aliens, bien mieux que des Marines .
L'actrice principale fait plutôt bien le job, celui qui joue l'androïde j'ai eu plus de mal.
En tout cas, ça m'a donné envie de me remettre au JdR Alien.

[Le merlock]

Ma liste de films vus, ou en attente de visionnage, pour le moment :

Inspecteur La bavure  (1980) de Claude Zidi, avec en caméo à l'arrière-plan l'affiche de l'Empire contre-attaque, au cinéma...

Et sinon, la quasi-intégrale des "Bébels" de cette décennie:

1980 : Le Guignolo de Georges Lautner
1981 : Le Professionnel de Georges Lautner
1983 : Le Marginal de Jacques Deray
1985 : Hold-up d'Alexandre Arcady
1987 : Le Solitaire de Jacques Deray

Toute une époque...