Guerre de l'anneau
De nouveau une partie de guerre de l'anneau avec mon fils. Il joue les méchants, comme d'habitude.
Le drame se met lentement en marche, les nations des ténèbres avancent vers la guerre, leurs troupes se déplacent et les ombres des Nazguls se font plus nombreuses. Le Gondor et le Rohan, eux prennent conscience des périls, s'ils ne sont pas en guerre, ils sont vigilants face au péril. La communauté elle quitte Foncombe... Hélas! A peine le périple entamé que Gandalf le gris se sacrifie pour couvrir le repli de la communauté et disparait dans une embuscade dans les hauts de Trolls... le coeur lourd, Aragorn prend la tête de la communauté. Il a juré et ne faillira pas.
Le Mordor rassemble ses forces, et même au tréfond de l'Harad, d'immenses forces se meuvent vers le Nord.
Mais c'est de l''Ouest que viennent les ombres les plus denses, Saroumane révèle sa noirceur et Orthanc amasse des troupes, tandis que les Dunledings répondent à l'appel de la vengeance.
Gandalf, cependant, à survécu a l'embuscade et porté par son destin achève son ascencion à Fangorn, il n'est plus Gandalf le vagabond, mais Gandalf le blanc, dernier des Istari.
Alors que la communauté entre à la Moria, les hordes d'Orthanc déferlent repoussant les fragiles troupes du gué de l'Issen qui se replie en bon ordre au gouffre de Helm.
Saroumane jubile, mais pour peu de temps. A Fangorn, Gandalf a réveillé l'ire des ents et les bois marchent sur Orthanc écroulant la tour et ensevilisant Saroumane sous les ruines.
A ce moment, les ténèbres voient leur plan vaciller, un parfum de victoire semble s'éveiller tant en Rohan qu'en Gondor.
Mais...
La communauté, elle, s'enfonce dans la Moria et s'y fait repérer par les gobelins, la corruption progresse et la communauté se trouve plus en péril encore, quand l'ennemi envoit un Nazgul à la Moria pour tenter de s'emparer de l'anneau, forcant la compagnie a se réfugier dans les profondeurs. Là, Aragorn et Boromir s'entretiennent. Avec la disparition de Gandalf, et la situation difficile de la communauté, la présence d'Aragorn semble indispensable. Par ailleurs, Boromir, semble sûr de lui, capable de lever des grandes forces et de défendre Minas Tirith vers laquelle se dirige le Roi-sorcier, éveillé depuis peu. "J'irais seul", dit-il d'une voix viril. Les deux hommes se donnt l'accolade. Aragorn se sait capable de mener la communauté jusqu'au porte du Mordor et Boromir tiendra les forces du Gondor jusqu'à la victoire!
Oui. Tous se passera bien. A n'en pas douter.
A vive allure, Boromir rejoint Minas Tirith et lève la maison des intendants, rassemble les forces vives du Gondor de Dol Amorth jusqu'a la citée Royale; Faramir tient Osgliath et Helm semble tenir sous les coups de Uruk-haï. A Edoras, Théoden rassemble quelques troupes.
Tandis que les Dunledings continuent à grossir les rangs des forces de l'Ouest, Boromir apprend la mort de son frère a Osgliath en même temps que la destruction des troupes d'Osgliath. L'armée du Roi-sorcier s'abat sur Minas Tirith, en même temps que les Suderons s'approchent de Pelargir et qu'a Umbar d'autres troupes arrivent.
Boromir est confiant, ses troupes sont aussi nombreuses que celle du roi sorcier et il a longuement préparé sa cavalerie, Faramir sera vengé; il attaque par surprise les forces des ténèbres mais c'était négligé la puissance du Mal. Exposé, il meurt sous le poison d'une lame Nazgul, à la tête de ses troupes! L'armée du Gondor ,taillée en pièces, s'enferme a Minas Tirith en désespoir de cause. Pélargir tombe écrasée par les Suderons.
Le roi sorcier sur sa lancée mène l'assaut et Grond abat les portes de la citée; Malgré une résistance acharné ce n'est plus qu'un petit carré de défenseur qui subsiste dans la citadelle; Au Sud Imrahil mène la défense de Dol Amroth et meurt, les rares survivants s'enferment à Dol Amroth face a des troupes suderon réduite. Au même moment, les Uruk-haï, mené par un Nazguls, s'emparent du gouffre de Helm. Théodred meurt et l'antique citadelle inviolée n'est plus que ruine.
La communauté elle, réussit a s'extraire de la Moria pour reprendre son souffle à la Lorien. la situation est tendue. Le Gondor est à l'agonie et le Rohan ne subiste qu'a Edoras. Il va falloir aller vite, très vite et, aussi, faire en sorte que le Nord soit sur le pied de guerre.
Durant les jours suivants, Gimli quitte la communauté pour aller livrer le livre de Mazarbul aux nains d'Erebor qui, immédiatement entrent en guerre autour de Daïn et de sa garde d'acier. Thranduil lève aussi des troupes dans les royaumes sylvestres. Gandalf, après avoir longuement hésité a rejoindre l'armée du Rohan rebrousse chemin vers Bree et les rangers du Nord et là, de sa verve enflammée, fait entrer le guerre le Nord!
Minas Tirith tombe, Dol Amroth, aussi, après une résistance si acharnée et héroïque qu'il a fallut le débarquement des corsaises d'Umbar pour, enfin, faire tomber les derniers défenseurs qui, lentement, avaient érodés les forces Suderons. Dol Amroth est tombée, entouré d'un charnier de Suderons et de Mumakil. En Rohan, si l'ennemi n'a pas fait mouvement, il s'est renforcé.
La communauté n'est plus constitué que des Hobbits, de Légolas et de Grand-pas. Bon an mal an, malgré une corruption grandissante (5), elle est aux portes du Mordor, à Morannon. Aragorn hésite, l'ennemi est proche de la victoire. Le Gondor n'est plus. L'armée de Thédoen est fragile et isolé, et si la plupart des Nations sont en guerre, à l'exception des elfes dont le pouvoir semble effrayer sauron (Un pouvoir trop grand), la situation militaire est désastreuse. La communauté aurait-elle le temps d'atteindre la montagne du destin sans que le monde libre soit récouvert par les ténèbres? Il sait son devoir d'héritier d'Isildur. Aragorn confie la direction de la communauté à son frère d'armes Légolas, les deux avant-bras s'empoignent, les regards se croisent, deux âmes sachant où est leur devoir. Legolas a le coeur lourd de voir l'inaction des siens, quand a Aragorn, il se sent coupable de la mort de Boromir, peut-être étais-ce à lui de prendre ses responsabilités: le sang des rois appelle le devoir, il est plus que temps. Légolas s'éloigne vers Moranon, tandis qu'Aragorn rejoint Edoras!
L'arrivée de Grand pas regonfle le moral du Rohan et Eomer fils d'Eomund se réconcilie avec son oncle et joint ses forces a Thédoen et Grand-pas. Le roi sorcier a sa cible et se diriger vers Edoras. Mais Aragorn a un plan, il compte rejoindre l'Ithilien et défier Sauron lui-même! Oh, il ne s'illusionne pas, ce serait presque du sacrifice, mais la compagne est affaibli et elle a besoin de temps.
Le roi sorcier manoeuvre habilement et harponne l'armée du Rohan sur les plateaux, le combat est sanglant. Mais le roi-sorcier a fait l'erreur de vider Minas-Tirith de ses troupes, Aragorn se replie dans la forêt de Ruadan est, de là, reprend une Minas Tirith en ruine et s'y fait reconnaitre roi, défiant Sauron!
La rage étreint l'adversaire.
Sur les monts du destin, une patrouille ork piège la compagnie et Frodon, Sam, Merry et pipin ne doivent leur survie qu'au sacrifice de Légolas. L'elfe meurt sur les sinistres pentes du volcan, le carquois vide et entouré de cadavres d'Ork.
Furieux, le roi sorcier se dirige vers Minas Tirith, tandis que la bouche de Sauron a la tête d'une large armée d'orientaux et d'Ork traversent l'Ithilien.
Aragorn décide de faire face. Dans une première bataille il repousse le roi sorcier qu'il contraint à la retraite sur Ruadan, mais ce n'était qu'une première vague. Une nuée de Nazguls assemblée autour de la Bouche de Sauron à Osgliath sèment la terreur et la mort parmis les défenseurs avant que l'armée du Mordor ne déferle sur les guerriers du Gondor et du Rohan, la dernière armée du Sud! L'assaut brutal, contraint Aragorn a s'enfermer à Minas Tirith: gagner du temps encore, il n'y a plus espoir d'atteindre l'Ithilien.
L'espoir est fort, le temps est compté pour les ténèbres. La compagnie peut progresser.
Hélas! La lumière se raréfie et la volonté de l'Ouest s'étiole, la communauté reste figée, terrée, la corruption la grignotant, Pipin devient fou et s'enfuit dans les ténèbres, tandis qu'Aragorn lui-même semble atermoyer. la bouche de Sauron donne coup de butoir sur coup de butoir sur la capitale du Gondor, et les défenseurs tombent les uns après les autres, les murs de boucliers éventrés et les attaques surprises et charges n'y changeant rien.
Le sommet du mont destin est encore loin; pris d'un regain d'énergie, Sam réveille la volonté de Frodon et de Merry: l'espoir n'est pas mort, Gandalf est mort pour eux, Légolas est mort pour eux, Aragorn se bat pour eux! Il faut se lever et marcher, marcher encore! Et les hobbits se lèvent, décidés à en finir. A Minas-Tirith, les combats font rage, Aragorn reculant de murailles en murailles.
Las! Alors que le sommet de la montagne est en vue, Aragorn meurt dans la citadelle et avec lui le roi Thédoen, Eomer fils d'Eomund et Eowyn.
Gandalf le Blanc, lui menant les rôdeurs s'est approché d'Angmar, mais il sait qu'il est maintenant impuissant.
La corruption de la compagnie est à 9. Il ne reste plus qu'une journée de marche. C'est la dernière il faut la tenter. Et alors que tout semble perdu, Frodon sort la fiole de Galadriel pour repousser les ténèbres, c'est sous ses feux, que l'anneau sera jeté dans le volcan.
l'oeil tremble, explose, Sauron disparait. Décapitées, les forces des ténèbres se débandent.
La victoire pour le peuple libre!
Mais à quel prix, et pour quel avenir?
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Encore une partie acharnée et tout s'est joué sur le dernier tirage, j'étais en marche forcée sur le mont du destin, Aragorn avait éliminé deux tuiles de l'Oeil et j'avais placé de nombreuses tuiles bleus, mais je suis monté jusqu'a quatre en Traque. La mauvaise tuile et je perdais, techniquement, je pense que sur le dernier tirage nous étions a 50/50. C'est, je crois, celà un bon jeu, quand, jusqu'au bout le suspense se maintient!
Durant la partie les chances ont été partagés. L'adversaire a eut le malheur par, excès de confiance de perdre Saroumane tôt dans la partie, par contre il s'est rattrapé sur la mort de Boromir et l'écrasement du Gondor.
La traque, elle a été dure, si elle a souvent été réussit, les tirages ont vue les forces des peuples libres évitaient le pire. le passage de la Moria fut désastreux et si, d'habitude, j'évite de m'arrêter à la Lorien, j'y fut la contraint.
palme aux elfes qui sont la seule nation a ne pas être entré en guerre, protégé par le "Un pouvoir trop grand" et dont j'ai évité l'entrée en guerre pour retarder l'arrivée de la bouche de Sauron.
Pour la deuxième fois, la présence de grand-pas / Aragorn cristallise les manoeuvres et les affrontements entre le Roi-sorcier et lui sont homériques.
La mort de Boromir fut un coup dur pour moi, mais Ô combien élégante.
La partie a été plus lente que d'habitude, en effet nous avions un dés en moins chacun, moi, du fait de ne pas avoir fait couronné Grand-pas, l'adversaire pour avoir perdu Saroumane tôt dans la partie.
L'adversaire, pour efficace qu'il soit néglige trop le nord; c'est à mon avis, une erreur, mais, ici, finalement, ça n'a pas joué, d'autant plus qu'il a à un moment oublié d'utiliser une carte contre la compagnie qui lui eut fait gagner un tour.
J'ai eu très chaud, donc. Viendra un jour ou le vieux cerf tombera face au jeune cerf, ainsi va le cycle du monde.