Cinéma, cinémaaaa, de salle en salle et de film en film !!!

[Mugen]

L'actrice qui joue Joan Baez ressemble beaucoup à ma mère jeune...

Tu es l'enfant de Joan Baez ?!

Alors en fait, ma mère ne ressemble pas du tout à Joan Baez.

[theWatch]

Joan Baez


Monica Barbaro


Joan Baez

[Mugen]

Non, je ne mettrai pas de photo de ma mère ici pour vous permettre de comparer.
Même si certains ici ont accès à mon FB pour comparer...

[Olivier Fanton]

Tous les films vus en janvier, entre ciné et diverses plateformes.

1. Wings (1927). Deux jeunes hommes quittent leur petite ville et rejoignent l’armée de l’air lors de la seconde guerre mondiale. Assez classique globalement, mais quelques scènes impressionnantes (le bombardement, toute la fin). On aperçoit un couple de femmes lors d’un beau travelling dans le Moulin Rouge. Fin tragique et émouvante, j’étais pas prêt.
2. Planète B (2023) CINÉ. Dans un futur proche, une révolutionnaire est emprisonnée dans un monde virtuel. Rien à voir avec l’écologie, donc. Technologiquement très improbable, mais l’anticipation politique est tristement d’actualité. Jolis moments de paranoïa.
3. Un ours dans le Jura (2023, Franck Dubosc) CINÉ. Un bucheron provoque la mort de trafiquant et doit gérer les cadavres… et les deux millions qu’ils transportaient. Rappelle les frères Coen par l’ambiance et l’humour pince-sans rire. Je recommande !
4. Nosferatu (2023) CINÉ. Adaptation assez fidèle de Dracula, sous un autre nom. Centré sur Mina Harker (pardon, Ellen Hutter), avec un propos/métaphore sur la sexualité féminine réprimée. Vraiment très joli, notamment dans ses décors et ses plans, bien joué. Très chouette.
5. Venom 3 (2024). Le dieu maléfique Knull menace de se réveiller si ses sbires mettent la main sur Venom. C’est pas complétement nul, mais l’intérêt est tout de même très moyen. Les sbires sont des abominations en 3D sans personnalité. Les nombres symbiotes sont plutôt sympas, mais anecdotiques. Ça manque d’un film directeur fort, et surtout on n’est jamais vraiment surpris.
6. Kraven The Hunter (2024). L’origine de Kraven et sa lutte contre la mafia. Difficile à résumer tellement l’histoire met longtemps à se mettre en place. La tension narrative n’arrive qu’à 50 minutes !! Pourtant, la première scène fait illusion. Ensuite, ça devient ennuyeux et facile. Et surtout, ce n’est pas Kraven, c’est plutôt Animal Man ! Il ne tue pas d’animaux, prend leurs pouvoir, lutte contre des braconniers… Pff. Allez, j’aime bien le Foreigner, même s’il méritait mieux.
7. Piece by Piece (2024). Biographie de Pharell Williams en Lego. C’est Beaaauuu !!!! Paradoxalement, le traitement de la lumière est mille fois plus contrasté et intéressant que dans tous les films modernes à la lumière toute plate. L’histoire est bien aussi, même si le Williams adulte n’apparait pas sous un jour très sympathique, pour ne pas dire que c’est un connard arrogant. Je regrette vraiment de ne pas l’avoir vu au cine, ça devait être dantesque.
8. Citizen Kane (Orson Welles, 1941). Un journaliste enquête auprès des relations de Charles Foster Kane pour comprendre le sens de ses dernières paroles. Un classique, et on comprend pourquoi. Le montage et la narration sont impressionnants d’idées et de modernité. Oh là là.
9. Wallace & Gromit - Vengeance Most Fowl (2024). Wallace invente un gnome robot à tout faire, pendant que le manchot prépare sa vengeance. Ça parle de l’impact de la technologie sur les rapports humains, et de l’intérêt de faire les choses par soi-même. C’est beau, c’est un peu court, c’est très bien. Mais moins de trouvailles de réalisation que dans le Lapin-garou (qui était génial à ce niveau). Gromit est toujours aussi touchant.
10. Roman Holiday (1953). Une princesse en visite à Rome s’échappe pour 24 heures et rencontre un journaliste. Ça ressemble un peu à It Happened One Night, mais seulement un peu. La fin est plus réaliste, pas du tout la romance qu’on aurait pu attendre. Et heureusement, vu les mensonges du journaliste et le peu de temps qu’ils passent ensemble. Sinon, c’est très bien, et Audrey Hepburn est magistrale.
11. Blended (2014). Après un premier rendez-vous désastreux, un homme et une femme se retrouvent par erreur à passer une semaine de vacances ensemble, et avec leurs enfants. Ce n’est définitivement pas un bon film, avec quelques blagues vraiment pas drôles, voire gênantes. Et à côté de ça, quelques blagues vraiment très drôles et des moments émouvants aux larmes (bon, j’étais fatigué, ça aide).
12. Occult (2009). Des journalistes enquêtent sur un meurtre dont ils ont un témoignage vidéo. Un faux documentaire, donc, probablement réalisé avec peu de moyen. Mouais. Ils m’ont perdu dans le dernier acte. J'ai perdu toute compassion pour le personnage.
13. Female Perversions (1996). Une avocate victime d’hallucinations tente d’aider sa sœur kleptomane. C’est à la fois très démonstratif dans le propos féministe et pas clair du tout dans le scénario (j’ai appris des éléments de l’intrigue sur la page wikipédia). Pas regardé en entier, j’ai survolé la fin. Pas très bien joué (à part Tilda Swinton), ni bien écrit.
14. Babylone AD (2008). Un mercenaire doit amener une jeune femme de Russie en Amérique. Bah, c’est sans intérêt. Kassovitz ne maîtrise pas sa caméra, l’histoire est banale et bancale, Vin Diesel joue comme un pied. Rien à sauver… Ma lecture du bouquin remonte à environ dix ans, mais sans être génial, il m’avait semblé autrement plus intéressant que cette longue litanie de rien.
15. Dating the Enemy (1996). Le lendemain de leur rupture, un couple échange leurs corps. Bon, c’est du classique de chez classique dans le genre de l’échange de corps. Guy Pierce joue bien, sa partenaire aussi. Ils éludent quand même pas mal de problèmes, mais c’est un trope du genre.
16. 8mm (Joel Schumacher, 1999). Un détective enquête sur ce qui semble être un snuff movie. Le début est très chouette, plutôt réaliste. Ensuite, la représentation du milieu du SM et du porno est lamentable et risible. Dommage. La fin redresse un peu la barre. Le personnage de la mère est touchant. Nicolas Cage surjoue, plutôt au détriment du film.
17. Sonic 3 (2024). Shadow s’échappe d’un laboratoire secret et menace le moooonde. Plutôt plus réussi que le 2, mais ce n’est pas un gros compliment.
18. Mr. Lucky (1943). Le propriétaire d’un casino clandestin (sur un bateau) cherche à se renflouer en arnaquant une œuvre de charité. Ça commence comme un film d’arnaque, et ça se termine en romance. Plutôt mignon, si on oublie que la femme tombe amoureuse d’un homme qui lui ment sur tout, y compris son identité.
19. X-Men - Days of Future Past – Rogue Cut. Wolverine revient dans les années 70 pour prévenir un assassinat qui mène à l’avènement des Sentinelles. Dix minutes de film en plus, pas inintéressantes, mais pas passionnantes non plus. J’ai eu plutôt un meilleur ressenti qu’au cinéma, sûrement parce que j’avais moins d’attentes. Ça reste meh. Et le pauvre Omar Sy n’a toujours pas de vrai rôle, triste. Ses pouvoirs ne sont même pas expliqués et pas très compréhensibles.
20. Earwig and the Witch (Goro Miyazaki, 2020). Une orpheline est adoptée par un couple de sorciers qui la font travailler dur, mais elle garde le sourire. Bah, les critiques sont très mauvaises, mais l’héroïne est presque sympathique, à rester optimiste quoi qu’il arrive. Par contre, c’est moche, ce qui est d’autant plus dur à encaisser venant du studio Ghibli. L’histoire m’a aussi laissé confus sur le fond.
21. Touch of Evil (Orson Wells, 1958, montage de 1998). Deux flics, un américain, un mexicain, enquêtent sur un assassinat, avec des méthodes très différentes. Plan séquence génial en intro (cité par Karim Debbache). Le conflit entre les deux flics prend rapidement le pas sur l’enquête elle-même. Un grand film noir.
22. Funny Face (1957). Un photographe de mode fait irruption dans la vie d’une bouquiniste new-yorkaise. Quelle horreur, à la fois dans l’indigence générale du scénario et dans la vision de la femme (« si tu cuisine aussi bien que tu es belle … ») et des relations amoureuses. L’héroïne tombe éperdument amoureuse du photographe bien qu’ils n’aient parlé que quelques minutes ensemble, et malgré 30 ans de différence d’âge. Beuark.
23. A Whisker Away (2020). Une ado se transforme en chat pour réconforter/séduire un camarade de classe. Je me suis arrêté au milieu, quand le garçon se comporte comme un gros c**. Pas apprécié non plus le harcèlement décomplexé que subit l’héroïne. Et comme d’hab, elle est inconditionnellement amoureuse du type, mais on n’a aucune idée de pourquoi, et le film prend son parti au lieu de nous montrer qu’elle a tort, voire qu’elle dépasse les limites du harcèlement. (Parce que l'espionner dans son intimité, même sous forme de chat, c’est glauque, hein.)

[Mugen]

Wizardry
Un film d'animation japonais très court (56 minutes), adaptation du jeu vidéo du même nom.
C'est du DungeonCrawling sans surprise et sans imagination, avec un guerrier, un paladin et un voleur ninja qui rentrent dans un donjon et croisent un clerc, un mago halfling (c'est le comic relief) et une mage elfe.
Et tout ce beau monde va se liguer pour aller poutrer le méchant au fond du donj'.
Plus que bof.

Le Jardin Zen
Une comédie assez réussie. Juste après la catastrophe de Fukushima, un salaryman japonais pète les plombs et laisse en plan sa femme, son fils et son vieux père malade.
Plusieurs années plus tard, il ressurgit pour voir que sa femme a rejoint une secte, qui vante les mérites d'une eau miraculeuse (qu'elle vend évidemment très cher).
Atteint d'un cancer, il espère profiter de l'héritage de son père, décédé entre temps, pour être soigné.

[Sammael99]

Hier soir on a commencé Sideways, une comédie dramatique US de 2004 environ, avec Paul Giamatti que ma femme et moi avions trouvé génial dans The Holdovers.

Après une heure de film, le téléphone a sonné, on a parlé 30mn au fiston et... on a pas repris.

La première heure est terriblement molle du genou, il ne se passe vraiment pas grand chose.

Quelqu'un l'a vu? Ça vaut le coup de reprendre ?

[Silenttimo]

Hier soir on a commencé Sideways, une comédie dramatique US de 2004 environ, avec Paul Giamatti que ma femme et moi avions trouvé génial dans The Holdovers.

Après une heure de film, le téléphone a sonné, on a parlé 30mn au fiston et... on a pas repris.

La première heure est terriblement molle du genou, il ne se passe vraiment pas grand chose.

Quelqu'un l'a vu? Ça vaut le coup de reprendre ?

J'avais bien aimé, mais je ne l'ai pas revu.

C'est une sorte de road-trip existentiel dans les vignes californiennes, et les questionnements de milieu de vie des personnages, dont l'un va se marier. Les personnages ont la petite quarantaine.
Mais c'est vrai que c'était particulier. Et on est de plus en plus habitué au rythme des images, du coup, je ne sais pas comment je l'apprécierai aujourd'hui.

Cela dit, il a eu plein de prix, il est bien noté partout, je suppose que c'est donc un film qui est ou a été aimé par le public.
 

[Léonard]

J'avais bien aimé Sideways. Oui, il ne se passe pas grand chose, mais le personnage de Paul Giamatti est super attachant.
En revanche, à ne pas regarder quand on est déprimé. C'est vraiment plombant.

[Ganelon]

J'avais bien aimé Sideways. Ne pas oublier son pote l'Homme-Sable qui est très drôle de maladresse. Très drôle aussi les duels Chardonnay vs Gamay ou je ne sais plus quel cépage, qui semblent tout définir du vin chez ces sauvages...

[Ganelon]

Vu Young Sherlock Holmes sur Fr2replay, alias Le Secret de la Pyramide (titre assez juste aussi); bonne imitation victorienne des Indiana Jones, préfigurant le steam punk des Extraordinary Gentlemen et autres Penny Dreadful... Réalisé platement par Barry "Rain Man" Levinson, film familial du dimanche après-midi, honnête et agréable.
Revu Dr No avec ma fille : "Trop stylée la musique !" "Super beau les appartements du Dr No !". Je me souvenais de l'opération de nettoyage de Connery et Andress à l'entrée de la base : c'est toujours aussi gênant.

[DocDandy]

J'avais bien aimé Sideways. Ne pas oublier son pote l'Homme-Sable qui est très drôle de maladresse. Très drôle aussi les duels Chardonnay vs Gamay ou je ne sais plus quel cépage, qui semblent tout définir du vin chez ces sauvages...

Je me rappelle que le personnage était un inconditionnel du Pinot Noir et a pété un plomb quand son pote lui a dit "si elles veulent boire du merlot, on boira du merlot !"

[Sammael99]

@Silenttimo @Ganelon @Léonard @DocDandy

Au vu de vos souvenirs de Sideways, j'ai l'impression d'avoir vu tout ce qu'il y avait à voir déjà.

Je crois qu'on va arrêter là les frais ;-)

[Mugen]

Chien de la Casse
Le film qui a révélé Raphaël Quenard.
Il raconte l'amitié entre Dog, un jeune homme peu expansif qui s'apprête à rejoindre l'armée, et Mirales (Quenard), un dilettante cultivé mais à la personnalité quelque peu désagréable.
Raphaël Quenard est très bon, mais le reste du film m'a plutôt laissé froid...

[Rufus51]

1. Wings (1927). Deux jeunes hommes quittent leur petite ville et rejoignent l’armée de l’air lors de la seconde guerre mondiale.

C'était super visionnaire ce film
 

[Olivier Fanton]

1. Wings (1927). Deux jeunes hommes quittent leur petite ville et rejoignent l’armée de l’air lors de la seconde guerre mondiale.

C'était super visionnaire ce film
 

Oups.