Bonjour a tous,
Suite au conseil d'un des abonnés du Forum, il m'est apparu nécessaire de créer un topic spécifique pour y publier des résumés de partie sous le système PUSH. Ce petit système est l'oeuvre de César Capacle. Ce système très ingénieux permet de jouer en solo, en coop ou de manière plus classique.
Pour jouer, l'équipement est minimaliste.. Un dé à 6 faces, un crayon, un feuille, une version de Push.
La partie gratuite est accessible à https://capacle.itch.io/push
Voici des ressources françaises accessibles :
- version mousquetaires et cape et d'épée:
https://digitrooper.itch.io/en-garde-monseigneur;
- version pirates :
https://longuefeuille.itch.io/larguez-les-amarres
- version les Mystères de l'Ouest :
https://digitrooper.itch.io/wild-wild-push
Toutes ses ressources sont accessibles gratuitement.
Tout le monde est, bien évidemment, le bienvenu. N'hésitez pas PUSH n'est pas laborieux à prendre en main et laisse de très belles perspectives ludiques.
[CR PUSH] Exemple de partie
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Longuefeuille
- Zelateur
- Messages : 76
- Inscription : lun. oct. 29, 2018 4:21 pm
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Longuefeuille
- Zelateur
- Messages : 76
- Inscription : lun. oct. 29, 2018 4:21 pm
Re: [CR PUSH] Exemple de partie
Pour lancer, ce topic, voici le résumé de ma partie sous wild wild push:
Le système de base se joue avec des cartes à jouer. N'en ayant pas sur moi, je joue ce système en mode orthodoxe.
J'ai également implémenté les règles d'avantage et de désavantages.
Les traits permettent selon les circonstances de pouvoir ajouter, si je le souhaite, +1 au dé. Les avantages et les désavantages se traduisent par le fait que, respectivement, je tire 2 D et je garde le plus haut ou 2D et je garde le plus bas.
Le tirage de mon personnage a donné:
415211
Don: Rusé comme un chacal affamé,
Éducation: Né dans les bars, avide de brève de comptoir,
Expérience: plus qu'un pionnier, un aventurier invétéré,
Charme: Un Smith et Wesson qui impressionne, Un sabre d'officier, souvenir de l'armée,
Lien: il l'appelle le coureur du vent, de sa tribu le seul blanc.
Signe distinctif: Spécialiste du combat rapproché, le Kung Fu n'est plus un secret.
Une ébauche du background de John Big Leaf:
Né dans un bar, enfant d'une gagneuse de Chicago. Il a vécu toute son enfance dans un saloon. Adolescent, la guerre de sécession débute. Il s'engage dans l'armée, où il s'avère être brillant. Il devient patrouilleur dans les Grandes Plaines où il livre une véritable guérilla contre les redneck. Il devient l'ami des tribus séminole. La fin de la guerre arrivant, il devient officier. Il en a gardé, son double canon scié Smith & Wesson, et son sabre.
Repéré pour ses talents multiples et précieux en particulier dans les territoires du Sud, l'agent WEST le recrute pour faire partie des agents secrets du gouvernement.
Il y subit tout une batterie de test et un entraînement sévère. Au cours de ce dernier, il découvre le Wing chun auprès d'un des élèves exilés de Leung cha.
Il est enfin prêt pour sa première mission...
Première mission:
Tirage sur la matrice:
A+B, Trouver objet sinon ressource changer...
James Longstreet, un célèbre Scalawag, a été cambriolé dans sa résidence de la Nouvelle-Orléans. Il a perdu son titre de propriété d'un territoire comprenant de riches champs pétrolifères.
Né pouvant compter sur l'aide de ses anciens alliés confédérés, il est également surveillés et menacés par les cajuns... Il ne peut pas compter sur l'élite locale corrompus.
Soutient de Grant lors de son élection, il fait appel à lui pour lui venir en aide.
Le Président demande à l'Agent West de lui dépêcher son élément le plus prometteur. L'agent WEST lui propose John Big Leaf... Un sémillant lieutenant de l'Armée américaine, récemment recruté.
La mission commence...
Arrivée après plusieurs jours de train depuis Washington. Je décide de rejoindre Coyote venteux, un grand séminole homme médecine, barbu et hirsute qui vit dans un tipi délabré dans un quartier des docks de la Nouvelle Orléans. (La matrice a indiqué "des mexicains, de la vapeur et un assassin).
J'arrive dans son quartier, la nuit est tombée et le brouillard et tenaces. J'entends les rires de marins mexicains en escale. Plusieurs arpentent la rue complètement ivre.
Bigleaf sait se faire oublié pour éviter les marins avinés et bagarreurs (a vécu dans un saloon). Y arrive-t-il? Dé:1 + PUSH: 4 +1 bonus du trait associés. Réussite totale.
Big Leaf arrive dans l'impasse où son ami vit. Étant rusé comme un chacal, ressent-il une atmosphère bizarre? Dé:6. L'atmosphère est-elle suspecte? Probablement oui (Matrice:assassin). Dé:6. Oui. Il perçoit une ombre qui quitte le tipi de son ami. Un couteau a la main ensanglabté. BL n'hésite pas une seconde. Il dégaine son S&W et tire vers cet homme. BL:2+Push :3. Réussite totale et l'homme:1+ Push 6. Échec.
Avec une habileté déconcertante, fruit de ses années dans l'armée, BL tire et touche l'homme en pleine tête. Le calibre de son S&W étant très important, un trou béant est apparu à l'arrière de sa tête.
Le coup a-t-il été entendu? Probablement oui. Dé:5. La nuit et le lourd brouillard ont étouffé la détonation.
BL s'approche du corps. Connaît-il cette homme? pbt non. Dé:1+ Push:4. Il le connaît.
Il s'agit d' Antonio Giutterez, un assassin notoire du clan Villa. Ce sont des mercenaires employés pour commettre des crimes sous contrat.
BL comprend et se précipite dans le tipi. Il découvre son ami exangue. Est-il en vie? Dé:8. Non et l'assassin n'était pas seul.
Un homme se faufile derrière BL et lui entouré le coup d'un lacet. BL a-t-il entendu l'homme arriver. L'homme :6 et BL : 2+6.! L'homme surprend BL et commence à l'étrangler. BL tente de frapper les parties génitales de cet assassin. Y arrive-t-il? Bonus KUng-Fu mais désavantage car en mauvaise posture. L'assassin: 6 vs BL: 4. Sa manoeuvre échoue. La lanière blesse son cou. BL va bientôt mourrir s'il ne fait rien. Il décide de mettre un énorme coup de tête à l'assassin. 2,3 donc 2 +Push :2 +1 dé bonus=>5 vs 4 pr l'assassin. BL prend de l'élan et vient écraser le crâne contre le nez du second assassin. L'homme lâche prise. BL est au sol et essaie de reprendre son souffle. L'homme saigne abondamment et essaie de retrouver ses esprits.
BL dégaine son sabre et attaque => 2+2=4 vs:6 l'assassin. BL tente un coup d'estoc. L'assassin esquive et désarme BL. Le sabre timbre au loin. L'assassin attaque à mains nues => 4 vs 6 pr BL. L'homme frappé par de longs crochets que BL intercepte et armé son coude qui finit dans la mâchoire de l'assassin. Est-il résistant? Pbt oui:5. Non et BL va-t-il le mettre KO par ce coup? Pbt oui. Dé 5 Non.
Le coup désoriente l'homme qui tombe en arrière. BL se jette sur l'homme pour l'étrangler. BL 1+3+1 (Kung fu) 5 vs 2+5. BL maintient sa prise malgré les tentatives de l'homme pour se libérer. BL ne le tue pas mais l'évanouit afin de mieux l'interroger plus tard. L'homme tombe dans les pommes.
_________________________________________
JBL le ligoté pour retenir l’homme. Il appelle le shérif du quartier, Jymmy Bobish, un coup de buffle surmonté d’une petite tête blondinette. Ce dernier vient avec deux adjoints. JBL indiqué qu’il travaille sur une affaire fédérale et il demande à interroger le suspect.
JBL envoie un télégramme au Major West:
Coyote venteux assassiné - stop- Guttierez éléminé - stop- sicairos du clan Don Zapata - stop - Justice locale en renfort - stop - autorisation enquêter demandée - stop
Pendant quelques interminables minutes, le silence se fait entendre. Puis, la réponse du Major T West arrive.
Autorisation accordée - stop - rencontre avec Longstreet- stop - piste mexicaine - stop - Prudence un- stop- Discrétion exigée
JBL rentre au bureau du shérif avec le suspect. JBL convainct-il Jimmy Bobish de le laisser interroger en premier. 3+5 vs 5 (Bobish). Échec vs Réussite totale.
Bobish refuse catégoriquement. Il demande même à JBL de quitter le quartier rapidement.
JBL décide de partir pour aller à la rencontre de Longstreetour. Mais où est Longstreet et surtout comment l’approcher sans éveiller les soupçons.
JBL perdu transmet un télégramme au Major T WEST:
Refus interrogatoire - stop - Police locale menaçante- stop - question Corruption - stop - recherche Longstreet - stop - discrétion - stop - Major Contact - stop
La réponse du Major intervient deux jours après. Pendant ce temps, JBL reste à la Nouvelle-Orléans Orléans et trouve un saloon accueillant et propre. Il sort peu mais joue dans ce saloon. Ayant “avide des brèves de comptoir”, il écoute ce qui se dit.
Trouve-t-il un indice d’une personne du saloon ? Oracle simple. Dé : 3 Non mais beaucoup des personnes présentes parlent de la boutique “Le fourbi de Jimmy comme lieu incontournable pour rencontrer le tout Nouvelle-Orléans (Résultat matrice, défi: “Barrière”).
JBL rentre dans la célèbre boutique.Pour ce faire, il passe deux portes saloon. Il arrive dans une immense pièce, rempli de matériel de survie. JBL se fait discret dans ce marché. Les producteurs vendent aux clients. Il s'agit de chasseurs, de trappeurs et d’Indien.
Est-ce que dans la boutique, une personne travaille ou est un proche de Longstreet. L’homme est un notable, probablement oui : 2. Oui, la personne est un homme ? Oui. Travaille-t-il pour Longstreet? Non. C’est donc un proche de Longstreet. De la famille ? Non mais c’est un des fils bâtards de Longstreet, qui l’a eu lors d’un adultère pendant la guerre de Sécession. Sa mère est une vaudou. Il vit dans le Bayou depuis que sa mère soit morte bien que personne n’ait retrouvé l’alligator qui l’a dévoré.
JBL cherche dans cette boutique. Il va s’adresser à une personne typiquement Irlandaise. Corpulente et transparente, avec des cheveux roux filasse. Il porte un costume onéreux et ostentatoire d’une mode passé. Un summum de l’inélégance. Le personnage est-il sûr de lui? Pbt oui (car une boutique reconnue) => Oui.
JBL voit cet homme hurlait après un des employés. Il est particulièrement insultant. JBL s’interpose calmement mais sûrement (Rusé comme un chacal affamé). L’Irlandais est très en colère et se demande qui est cette personne qui se mêle de ce qui ne la regarde pas. Est-il hostile et près a en venir aux mains. Pbt: Non. 1 => Non. Il a peur mais essaie de montrer un brin d’assurance. Pendant que ce dernier crie, JBL s’approche de lui très près pour l’impressionner. Le fait-il reculer ? Avantage JBL. 2D 6&2 => Donc 6 vs Jimmy 2. JBL s’avance avec une grande assurance pour prendre le dessus sur Jimmy qui recule jusqu’à que son dos heurte un comptoir. L’employée sourit de cette aide providentielle. Intervient-elle pour défendre son patron. Pbt Non. Dé:6.
L’employée part en panique. JBL fait paniquer le gros Jimmy. Jusqu’à qu’un employé arrive. Sait-il se battre? PBT oui car c’est le “vigile” du magasin. Dé:2+PUSH 3. 5. Non, le vigile ne sait pas se battre.
JBL s’en rend-il compte ? Ayant “Rusé comme un chacal affamé”, dé : 3+PUSH:3 =6. Il s’en rend compte.
JBL sait qu’il a l’ascendant sur le gros Jimmy et qu’il l’aurait sur le vigile.
JBL indique qu’il veut calmer les choses mais qu’il recherche un moyen de rencontrer Longstreet. Il a l’avantage 2D. 4 &6 => 6 vs 5. Le gros Jimmy lui donnera l’info s’il la connait. La connaît-il? Pbt oui. Dé 4. Oui.
Le gros Jimmy lui indiqué que William S Stevenson.m, Un grand échalat tout mince est un trappeur de la Région. Le fils illigitime de Longstreet. Il vient se ravitailler dans le magasin. Le gros Jimmy accepte de le prévenir quand Stevenson sera en ville.
En attendant toujours la réponse du Major. JBL en profite pour interroger le gros Jimmy sur la présence des Mexicains en ville. Sait-il où je pourrai trouver les Mexicains. Pbt oui. Dé:6. Le meurtre de mon ami reste encore un mystère sans fond.
Puis, au bout de deux jours, la réponse du Major arrive :
Longstreet contact discret - stop - trouver moyen pour -stop- Ami de la famille - stop.
La réponse de JBL est immédiate :
Stevenson - stop - fils adultère - stop - piste en cours - stop - En contact avec Longstreet - stop - rapport prochainement - stop
Quelques heures plus tard, un petit gars de la Rue vient me donner un pli du gros Jimmy. Stevenson en ville. (Matrice : “ il passe à l’As des As”).
Ce dernier est à l’As des As. Un saloon reconnu pour que les mineurs et les trappeurs y perdent leur solde. Les filles sont de joie et les dollars coulent à flot lorsque cela n’est pas le sang…
L’objectif de JBL sera de contacter Stevenson… Le dé de défi indiqué : 5/1 => Concours. Un tournoi de poker est organisé à l’As des As. Ce dernier voit transiter une partie importante de la pègre et des trafiquants locaux. JBL va devoir faire preuve d’une très grande prudence…
Fin de séance.
J’essaie de rester une double intrigue. La première concerne les sicairos Mexicains qui ont tué mon ami Coyote venteux, qui sont-ils? Que veulent-ils? Et la mission en elle-même. Si le système me le permet, je verrai bien l’intrigue Mexicaine s’intégrer dans l'intrigue principale à un moment.
Je poursuis mon expérimentation du système. L’habitude me permet de plus en plus de me détacher du SRD pour laisser plus libre court aux inspirations.
A bientôt,
________________________________________
Je vais tenter une approche plus immersive…
JBL chevauchait depuis deux heures entre chien et loup. Il devait rejoindre le Bayou où se trouvait un saloon de classe où se mélangent le gratin de la pègre et les notabilités locale.
Il arrive au ponton où se situe l’As des as, ce fameux saloon.
En déposant son cheval à l’écurie et marchant pour rejoindre le saloon, il remarqua le chef des vaudous et son groupe, armés de machette et trafiquant de Peyolt ainsi que les refs Dixies, des rednecks fanatiques, vendeurs d’armes et mercenaires. Enfin, il chercha le clan des trappeurs, avec leur carabine et leur hache. JBL étant rusé, il décide d’observer et de rechercher le moyen d’attirer l’attention et la sympathie de ce clan. JBL remarque sur les trappeurs sont finalement rustres et violents. Il faut donc leur montrer que JBL est un vrai guerrier. JBL recherche une cible potentiel. Il voit un groupe de vaudou à l’extérieur ayant chacun une bouteille de rhum. Ils sont trois. Il va devoir les provoquer.
JBL se rapproche des trappeurs et indiqué haut et fort que les empoisonneurs doivent partir car c’est un établissement de standing, le refuge des trappeurs, c’est dire. Les trappeurs sont séduits par son idée. Il sort et il s’approche directement des trois vaudous. Il leur demande de déguerpir. Les vaudous rigolent. Les vaudous vont où ils veulent et ont la classe avec leur tenue extravagante…
JBL ne se démonte pas et dégaine son sabre d’officier. Les trois vaudous se ressaisissent et dégainent leur machette.
JBL rusé sent que la tension monte. JBL espère que les trappeurs. Ses espoirs sont comblés. Un trappeur arrive, carabine à la main. Il menace les trois vaudous de sa carabine. Tout le monde est figé. D’un coup, Magnus ofdenberg, un molosse blonc (Dolph Lundgren dans Rocky 4), chef de la sécurité du saloon, arrive armé et accompagné des frères macdonagal, deux boxeurs videurs écossais.
Les vaudous refusent de partir malgré la menace et persistent. Magnus leur demande instamment de partir mais les vaudous refusent… Ils rappellent due la propriétaire Esméralda Gonzales, un danseuse de tangos argentin leur doit tout… JBL comprend que la situation va rapidement dégénérer.
Tout d’un coup, 6 red Dixies arrivent et viennent s’interposer. Les trois vaudous fuient. Les red Dixies et leur chef, Leed. Ce pur produit des red Dixies est un des vétérans médaillé de l’armée confédérée. S’en suit une discussion musclée entre Ofdenberg et Leed sur la sécurité. Il indique qu’il ne devrait pas trainer avec des latinos et des vaudous. Ofdenberg rappelle que l’as des as est pour tout le monde que cela lui plaise ou pas.
En parallèle, JBL parle avec le trappeur. Ce dernier lui indiqué qu’il s’appelle Stevenson. Il est sorti car il ne peut se résoudre à laisser un pauvre homme mourir pour des valeurs futiles.
JBL n’en prend pas ombrage mais lui indiqué qu’il aimerait bien pouvoir discuter affaire avec lui. Stevenson rappelle qu’il est venu ici pour le tournoi de Poker et pas pour le travail.
JBL lui propose de lui payer un verre, que Stevenson accepte. Ils rentrent dans le saloon. L’agitation est à son comble d’autant que la propriétaire siège sur une mezzanine avec un verre de champagne a la main. Elle offre une tournée générale et souhaite la bienvenue à tous ses hommes d’honneur pour le concours de poker annuel de l’as des as.
Avant le tournoi, elle rappelle que le service d’ordre fouillera l’ensemble des participants à qui il est demandé de remettre l’ensemble de ses armes qui seront gardés dans une salle spécifique. Tous les convives s’exécutent.
JBL dépose l’ensemble de ses armes et Stevenson le laisse pour aller s’inscrire au tournoi. JBL souhaite rester en observateur et regarde comment se dernier se déroule.
Soudain, une bande de mariachis rentre dans le saloon. A leur tête, un mexicain bedonnant et jovial. La propriétaire le reconnaît comme étant donné Zapata, le fameux pourvoyeurs de sicairos. Il indique qu’il vient, lui aussi, spécialement pour ce tournoi…
__________________________________________
La suite très prochainement! A vos aventures, très chers lecteurs!
Le système de base se joue avec des cartes à jouer. N'en ayant pas sur moi, je joue ce système en mode orthodoxe.
J'ai également implémenté les règles d'avantage et de désavantages.
Les traits permettent selon les circonstances de pouvoir ajouter, si je le souhaite, +1 au dé. Les avantages et les désavantages se traduisent par le fait que, respectivement, je tire 2 D et je garde le plus haut ou 2D et je garde le plus bas.
Le tirage de mon personnage a donné:
415211
Don: Rusé comme un chacal affamé,
Éducation: Né dans les bars, avide de brève de comptoir,
Expérience: plus qu'un pionnier, un aventurier invétéré,
Charme: Un Smith et Wesson qui impressionne, Un sabre d'officier, souvenir de l'armée,
Lien: il l'appelle le coureur du vent, de sa tribu le seul blanc.
Signe distinctif: Spécialiste du combat rapproché, le Kung Fu n'est plus un secret.
Une ébauche du background de John Big Leaf:
Né dans un bar, enfant d'une gagneuse de Chicago. Il a vécu toute son enfance dans un saloon. Adolescent, la guerre de sécession débute. Il s'engage dans l'armée, où il s'avère être brillant. Il devient patrouilleur dans les Grandes Plaines où il livre une véritable guérilla contre les redneck. Il devient l'ami des tribus séminole. La fin de la guerre arrivant, il devient officier. Il en a gardé, son double canon scié Smith & Wesson, et son sabre.
Repéré pour ses talents multiples et précieux en particulier dans les territoires du Sud, l'agent WEST le recrute pour faire partie des agents secrets du gouvernement.
Il y subit tout une batterie de test et un entraînement sévère. Au cours de ce dernier, il découvre le Wing chun auprès d'un des élèves exilés de Leung cha.
Il est enfin prêt pour sa première mission...
Première mission:
Tirage sur la matrice:
A+B, Trouver objet sinon ressource changer...
James Longstreet, un célèbre Scalawag, a été cambriolé dans sa résidence de la Nouvelle-Orléans. Il a perdu son titre de propriété d'un territoire comprenant de riches champs pétrolifères.
Né pouvant compter sur l'aide de ses anciens alliés confédérés, il est également surveillés et menacés par les cajuns... Il ne peut pas compter sur l'élite locale corrompus.
Soutient de Grant lors de son élection, il fait appel à lui pour lui venir en aide.
Le Président demande à l'Agent West de lui dépêcher son élément le plus prometteur. L'agent WEST lui propose John Big Leaf... Un sémillant lieutenant de l'Armée américaine, récemment recruté.
La mission commence...
Arrivée après plusieurs jours de train depuis Washington. Je décide de rejoindre Coyote venteux, un grand séminole homme médecine, barbu et hirsute qui vit dans un tipi délabré dans un quartier des docks de la Nouvelle Orléans. (La matrice a indiqué "des mexicains, de la vapeur et un assassin).
J'arrive dans son quartier, la nuit est tombée et le brouillard et tenaces. J'entends les rires de marins mexicains en escale. Plusieurs arpentent la rue complètement ivre.
Bigleaf sait se faire oublié pour éviter les marins avinés et bagarreurs (a vécu dans un saloon). Y arrive-t-il? Dé:1 + PUSH: 4 +1 bonus du trait associés. Réussite totale.
Big Leaf arrive dans l'impasse où son ami vit. Étant rusé comme un chacal, ressent-il une atmosphère bizarre? Dé:6. L'atmosphère est-elle suspecte? Probablement oui (Matrice:assassin). Dé:6. Oui. Il perçoit une ombre qui quitte le tipi de son ami. Un couteau a la main ensanglabté. BL n'hésite pas une seconde. Il dégaine son S&W et tire vers cet homme. BL:2+Push :3. Réussite totale et l'homme:1+ Push 6. Échec.
Avec une habileté déconcertante, fruit de ses années dans l'armée, BL tire et touche l'homme en pleine tête. Le calibre de son S&W étant très important, un trou béant est apparu à l'arrière de sa tête.
Le coup a-t-il été entendu? Probablement oui. Dé:5. La nuit et le lourd brouillard ont étouffé la détonation.
BL s'approche du corps. Connaît-il cette homme? pbt non. Dé:1+ Push:4. Il le connaît.
Il s'agit d' Antonio Giutterez, un assassin notoire du clan Villa. Ce sont des mercenaires employés pour commettre des crimes sous contrat.
BL comprend et se précipite dans le tipi. Il découvre son ami exangue. Est-il en vie? Dé:8. Non et l'assassin n'était pas seul.
Un homme se faufile derrière BL et lui entouré le coup d'un lacet. BL a-t-il entendu l'homme arriver. L'homme :6 et BL : 2+6.! L'homme surprend BL et commence à l'étrangler. BL tente de frapper les parties génitales de cet assassin. Y arrive-t-il? Bonus KUng-Fu mais désavantage car en mauvaise posture. L'assassin: 6 vs BL: 4. Sa manoeuvre échoue. La lanière blesse son cou. BL va bientôt mourrir s'il ne fait rien. Il décide de mettre un énorme coup de tête à l'assassin. 2,3 donc 2 +Push :2 +1 dé bonus=>5 vs 4 pr l'assassin. BL prend de l'élan et vient écraser le crâne contre le nez du second assassin. L'homme lâche prise. BL est au sol et essaie de reprendre son souffle. L'homme saigne abondamment et essaie de retrouver ses esprits.
BL dégaine son sabre et attaque => 2+2=4 vs:6 l'assassin. BL tente un coup d'estoc. L'assassin esquive et désarme BL. Le sabre timbre au loin. L'assassin attaque à mains nues => 4 vs 6 pr BL. L'homme frappé par de longs crochets que BL intercepte et armé son coude qui finit dans la mâchoire de l'assassin. Est-il résistant? Pbt oui:5. Non et BL va-t-il le mettre KO par ce coup? Pbt oui. Dé 5 Non.
Le coup désoriente l'homme qui tombe en arrière. BL se jette sur l'homme pour l'étrangler. BL 1+3+1 (Kung fu) 5 vs 2+5. BL maintient sa prise malgré les tentatives de l'homme pour se libérer. BL ne le tue pas mais l'évanouit afin de mieux l'interroger plus tard. L'homme tombe dans les pommes.
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JBL le ligoté pour retenir l’homme. Il appelle le shérif du quartier, Jymmy Bobish, un coup de buffle surmonté d’une petite tête blondinette. Ce dernier vient avec deux adjoints. JBL indiqué qu’il travaille sur une affaire fédérale et il demande à interroger le suspect.
JBL envoie un télégramme au Major West:
Coyote venteux assassiné - stop- Guttierez éléminé - stop- sicairos du clan Don Zapata - stop - Justice locale en renfort - stop - autorisation enquêter demandée - stop
Pendant quelques interminables minutes, le silence se fait entendre. Puis, la réponse du Major T West arrive.
Autorisation accordée - stop - rencontre avec Longstreet- stop - piste mexicaine - stop - Prudence un- stop- Discrétion exigée
JBL rentre au bureau du shérif avec le suspect. JBL convainct-il Jimmy Bobish de le laisser interroger en premier. 3+5 vs 5 (Bobish). Échec vs Réussite totale.
Bobish refuse catégoriquement. Il demande même à JBL de quitter le quartier rapidement.
JBL décide de partir pour aller à la rencontre de Longstreetour. Mais où est Longstreet et surtout comment l’approcher sans éveiller les soupçons.
JBL perdu transmet un télégramme au Major T WEST:
Refus interrogatoire - stop - Police locale menaçante- stop - question Corruption - stop - recherche Longstreet - stop - discrétion - stop - Major Contact - stop
La réponse du Major intervient deux jours après. Pendant ce temps, JBL reste à la Nouvelle-Orléans Orléans et trouve un saloon accueillant et propre. Il sort peu mais joue dans ce saloon. Ayant “avide des brèves de comptoir”, il écoute ce qui se dit.
Trouve-t-il un indice d’une personne du saloon ? Oracle simple. Dé : 3 Non mais beaucoup des personnes présentes parlent de la boutique “Le fourbi de Jimmy comme lieu incontournable pour rencontrer le tout Nouvelle-Orléans (Résultat matrice, défi: “Barrière”).
JBL rentre dans la célèbre boutique.Pour ce faire, il passe deux portes saloon. Il arrive dans une immense pièce, rempli de matériel de survie. JBL se fait discret dans ce marché. Les producteurs vendent aux clients. Il s'agit de chasseurs, de trappeurs et d’Indien.
Est-ce que dans la boutique, une personne travaille ou est un proche de Longstreet. L’homme est un notable, probablement oui : 2. Oui, la personne est un homme ? Oui. Travaille-t-il pour Longstreet? Non. C’est donc un proche de Longstreet. De la famille ? Non mais c’est un des fils bâtards de Longstreet, qui l’a eu lors d’un adultère pendant la guerre de Sécession. Sa mère est une vaudou. Il vit dans le Bayou depuis que sa mère soit morte bien que personne n’ait retrouvé l’alligator qui l’a dévoré.
JBL cherche dans cette boutique. Il va s’adresser à une personne typiquement Irlandaise. Corpulente et transparente, avec des cheveux roux filasse. Il porte un costume onéreux et ostentatoire d’une mode passé. Un summum de l’inélégance. Le personnage est-il sûr de lui? Pbt oui (car une boutique reconnue) => Oui.
JBL voit cet homme hurlait après un des employés. Il est particulièrement insultant. JBL s’interpose calmement mais sûrement (Rusé comme un chacal affamé). L’Irlandais est très en colère et se demande qui est cette personne qui se mêle de ce qui ne la regarde pas. Est-il hostile et près a en venir aux mains. Pbt: Non. 1 => Non. Il a peur mais essaie de montrer un brin d’assurance. Pendant que ce dernier crie, JBL s’approche de lui très près pour l’impressionner. Le fait-il reculer ? Avantage JBL. 2D 6&2 => Donc 6 vs Jimmy 2. JBL s’avance avec une grande assurance pour prendre le dessus sur Jimmy qui recule jusqu’à que son dos heurte un comptoir. L’employée sourit de cette aide providentielle. Intervient-elle pour défendre son patron. Pbt Non. Dé:6.
L’employée part en panique. JBL fait paniquer le gros Jimmy. Jusqu’à qu’un employé arrive. Sait-il se battre? PBT oui car c’est le “vigile” du magasin. Dé:2+PUSH 3. 5. Non, le vigile ne sait pas se battre.
JBL s’en rend-il compte ? Ayant “Rusé comme un chacal affamé”, dé : 3+PUSH:3 =6. Il s’en rend compte.
JBL sait qu’il a l’ascendant sur le gros Jimmy et qu’il l’aurait sur le vigile.
JBL indique qu’il veut calmer les choses mais qu’il recherche un moyen de rencontrer Longstreet. Il a l’avantage 2D. 4 &6 => 6 vs 5. Le gros Jimmy lui donnera l’info s’il la connait. La connaît-il? Pbt oui. Dé 4. Oui.
Le gros Jimmy lui indiqué que William S Stevenson.m, Un grand échalat tout mince est un trappeur de la Région. Le fils illigitime de Longstreet. Il vient se ravitailler dans le magasin. Le gros Jimmy accepte de le prévenir quand Stevenson sera en ville.
En attendant toujours la réponse du Major. JBL en profite pour interroger le gros Jimmy sur la présence des Mexicains en ville. Sait-il où je pourrai trouver les Mexicains. Pbt oui. Dé:6. Le meurtre de mon ami reste encore un mystère sans fond.
Puis, au bout de deux jours, la réponse du Major arrive :
Longstreet contact discret - stop - trouver moyen pour -stop- Ami de la famille - stop.
La réponse de JBL est immédiate :
Stevenson - stop - fils adultère - stop - piste en cours - stop - En contact avec Longstreet - stop - rapport prochainement - stop
Quelques heures plus tard, un petit gars de la Rue vient me donner un pli du gros Jimmy. Stevenson en ville. (Matrice : “ il passe à l’As des As”).
Ce dernier est à l’As des As. Un saloon reconnu pour que les mineurs et les trappeurs y perdent leur solde. Les filles sont de joie et les dollars coulent à flot lorsque cela n’est pas le sang…
L’objectif de JBL sera de contacter Stevenson… Le dé de défi indiqué : 5/1 => Concours. Un tournoi de poker est organisé à l’As des As. Ce dernier voit transiter une partie importante de la pègre et des trafiquants locaux. JBL va devoir faire preuve d’une très grande prudence…
Fin de séance.
J’essaie de rester une double intrigue. La première concerne les sicairos Mexicains qui ont tué mon ami Coyote venteux, qui sont-ils? Que veulent-ils? Et la mission en elle-même. Si le système me le permet, je verrai bien l’intrigue Mexicaine s’intégrer dans l'intrigue principale à un moment.
Je poursuis mon expérimentation du système. L’habitude me permet de plus en plus de me détacher du SRD pour laisser plus libre court aux inspirations.
A bientôt,
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Je vais tenter une approche plus immersive…
JBL chevauchait depuis deux heures entre chien et loup. Il devait rejoindre le Bayou où se trouvait un saloon de classe où se mélangent le gratin de la pègre et les notabilités locale.
Il arrive au ponton où se situe l’As des as, ce fameux saloon.
En déposant son cheval à l’écurie et marchant pour rejoindre le saloon, il remarqua le chef des vaudous et son groupe, armés de machette et trafiquant de Peyolt ainsi que les refs Dixies, des rednecks fanatiques, vendeurs d’armes et mercenaires. Enfin, il chercha le clan des trappeurs, avec leur carabine et leur hache. JBL étant rusé, il décide d’observer et de rechercher le moyen d’attirer l’attention et la sympathie de ce clan. JBL remarque sur les trappeurs sont finalement rustres et violents. Il faut donc leur montrer que JBL est un vrai guerrier. JBL recherche une cible potentiel. Il voit un groupe de vaudou à l’extérieur ayant chacun une bouteille de rhum. Ils sont trois. Il va devoir les provoquer.
JBL se rapproche des trappeurs et indiqué haut et fort que les empoisonneurs doivent partir car c’est un établissement de standing, le refuge des trappeurs, c’est dire. Les trappeurs sont séduits par son idée. Il sort et il s’approche directement des trois vaudous. Il leur demande de déguerpir. Les vaudous rigolent. Les vaudous vont où ils veulent et ont la classe avec leur tenue extravagante…
JBL ne se démonte pas et dégaine son sabre d’officier. Les trois vaudous se ressaisissent et dégainent leur machette.
JBL rusé sent que la tension monte. JBL espère que les trappeurs. Ses espoirs sont comblés. Un trappeur arrive, carabine à la main. Il menace les trois vaudous de sa carabine. Tout le monde est figé. D’un coup, Magnus ofdenberg, un molosse blonc (Dolph Lundgren dans Rocky 4), chef de la sécurité du saloon, arrive armé et accompagné des frères macdonagal, deux boxeurs videurs écossais.
Les vaudous refusent de partir malgré la menace et persistent. Magnus leur demande instamment de partir mais les vaudous refusent… Ils rappellent due la propriétaire Esméralda Gonzales, un danseuse de tangos argentin leur doit tout… JBL comprend que la situation va rapidement dégénérer.
Tout d’un coup, 6 red Dixies arrivent et viennent s’interposer. Les trois vaudous fuient. Les red Dixies et leur chef, Leed. Ce pur produit des red Dixies est un des vétérans médaillé de l’armée confédérée. S’en suit une discussion musclée entre Ofdenberg et Leed sur la sécurité. Il indique qu’il ne devrait pas trainer avec des latinos et des vaudous. Ofdenberg rappelle que l’as des as est pour tout le monde que cela lui plaise ou pas.
En parallèle, JBL parle avec le trappeur. Ce dernier lui indiqué qu’il s’appelle Stevenson. Il est sorti car il ne peut se résoudre à laisser un pauvre homme mourir pour des valeurs futiles.
JBL n’en prend pas ombrage mais lui indiqué qu’il aimerait bien pouvoir discuter affaire avec lui. Stevenson rappelle qu’il est venu ici pour le tournoi de Poker et pas pour le travail.
JBL lui propose de lui payer un verre, que Stevenson accepte. Ils rentrent dans le saloon. L’agitation est à son comble d’autant que la propriétaire siège sur une mezzanine avec un verre de champagne a la main. Elle offre une tournée générale et souhaite la bienvenue à tous ses hommes d’honneur pour le concours de poker annuel de l’as des as.
Avant le tournoi, elle rappelle que le service d’ordre fouillera l’ensemble des participants à qui il est demandé de remettre l’ensemble de ses armes qui seront gardés dans une salle spécifique. Tous les convives s’exécutent.
JBL dépose l’ensemble de ses armes et Stevenson le laisse pour aller s’inscrire au tournoi. JBL souhaite rester en observateur et regarde comment se dernier se déroule.
Soudain, une bande de mariachis rentre dans le saloon. A leur tête, un mexicain bedonnant et jovial. La propriétaire le reconnaît comme étant donné Zapata, le fameux pourvoyeurs de sicairos. Il indique qu’il vient, lui aussi, spécialement pour ce tournoi…
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La suite très prochainement! A vos aventures, très chers lecteurs!
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Longuefeuille
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- Inscription : lun. oct. 29, 2018 4:21 pm
Re: [CR PUSH] Exemple de partie
Bonsoir,
Voici la suite des (més)aventures de John Big Leaf...
Voyant cela, je prends conscience que quelque chose de louche va se dérouler. Certainement, des tractations secrètes. En effet, Don zapata se déplace rarement et rarement pour rien.
La propriétaire le reçoit avec beaucoup de déférences et le fait monter sur la véranda. Observant cela, je me demande comment pourrai-je faire pour trouver un moyen de me rapprocher pour entendre leur conversation sans me faire remarquer par l’imposant service d’ordre, d’autant plus depuis l’esclandre avec les vaudous à l’extérieur…
Je décide de tenter ma chance avec Magnus pour essayer de récolter quelques informations sur la venue de Don Zapata et le message sybillin des deux vaudous.
Ce dernier marche entre les tables du tournoi dans une pièce spéciale. Dans l’autre pièce, l’ambiance est plus festive. Les invités boivent, écoutent des joueurs de banjos et les filles de joie se donnent corps et âmes.
Je reste dans un coin avec d’autres spectateurs regardant le tournoi. J’observe la partie de Stevenson. Ce dernier jour contre un quincailliers de backwood, un quartier de la Nouvelle-Orléans. C’est un gros fournisseurs des trappeurs en matière de matériels… Il joue également comme Rocky Grant, un des shérifs de la Nouvelle-Orléans, Ozzy borporn, un honnête cuisinier. Stevenson perd la première manche malgré de belles tentatives de bluff. Le quincailler n’a pas mordu et a eu de la chance avec Ozzy. Ozzy remporte la manche de justesse. Grant est éliminé.
Magnus passe à proximité, je l’interpelle discrètement. Il me demande ce que je veux. Je m’excuse pour l’esclandre et lui indiqué que j'espère ne pas avoir créé de problèmes à sa patronne. Il indique que non et se montre plutôt sympathique avec moi. Il me dit que lui-même, en a marre des bouffeurs de Peyolt. Il ne comprend pas pourquoi sa patronne s'obstine à les laisser venir. Je l’interroge sur Don Zapata sans éveiller ses soupçons. Malgré l’étonnement Magnus accepté et m’emmene dans un coin de la pièce…
Il m’explique que Don Zapata voit d’un mauvais oeil, le fait que les vaudous essaient d’investir ce lucratif saloon. Il a déjà fait plusieurs offres de rachats à la propriétaire. Cette dernière a réfusé car elle veut rester libre. Je lui demande alors pourquoi accepte-t-elle l’aide des vaudous. Il me dit que cela ne me regarde pas et que je ferai mieux de retourner regarder le tournoi. Il demeure sympathique mais m’indique qu’il vaut mieux que je me mêle d’affaires moins dangereuses.
Je retourne voir Stevenson et je découvre qu’il a quitté la table et est parti. Je pars rapidements à sa recherche. Je le recherche dans la pièce avec une ambiance certaine.
Ce dernier est fort occupé avec une fille de joie. Il est en colère. Je m’approche de lui mais il refuse de me parler. Il se lève menaçant avec un de ses compères trappeurs. Je comprends que je ne dois pas insister et lui propose que nous prenons rendez-vous. Il refuse.
Il n’est pas intéressé. Je suis, à nouveau, dans l’impasse et je comprend que je n’arriverait pas à convaincre Stevenson de m’aider… Il faudra que je trouve un moyen de m’approcher de Longstreet. Je repars vers le tournoi pour voir si Don Zapata est toujours dans le saloon.
Je décide d’attendre et de m’approcher de la porte de service. Je dépose ma veste et attend qu’un des serveurs passe en cuisine. J’essaie de rentrer dans la cuisine sans me faire repérer. Un petit couloir longe et j'assomme le serveur tout en le mettant derrière un rideau. Je le remplace et entre cuisine. Les cuistots très occupés et ne remarquent pas que je ne ressemble pas à un serveur connu. J’avance avec culot et je demande que l’on serve la tequila de Don Zapata car il n’est pas très content. Un des cuistots s’exécute et me tend un plateau avec un verre de tequila.
Je passe par l’escalier de service et arrive directement sur la véranda. Un des hommes de main m’arrête pour la forme et me laisse approcher.
Je baisse la tête et écoute leur conversation. Don Zapata semble en colère. La propriétaire lui rappelle que ce n’est pas une chienne domptée. Elle dit qu'elle ne veut pas être mêlée aux sicairos. Don Zapata s’insurge et rappelle que sa participation à ce gang de tueurs est une fable… Une fable qu’il serait dommage de vérifier.
Je décide de retourner en arrière et repasser par les cuisines. Don Zapata est donc certainement le chef de sicairos et donc le responsable du meurtre de mon contact…
Mon enquête est complexe. Je n’ai pas réussi à prendre contact avec Stevenson et je n’ai que la certitude que Don Zapata est mêlé à l’affaire Longstreet… Mais pour qu'elle raison?
Je descends les escaliers. Le tournoi se poursuit…
Un des vainqueurs est Leed, le chef des red Dixies… Un vétéran cruel et sanguinaire. Le boucher de claveson. Un redoutable pistoleros.
La fin de la soirée arrive. Don Zapata et la propriétaire remette le chèque à Leed. Étant rusé, je comprends que Leed et Don Zapata se connaissent. Cela est très intriguant car un vrai Dixies qui traite avec un Mexicain paraît peu probable.
Je me dis que je devrais suivre la piste de Leed pour mieux comprendre ce qui se trame.
La soirée se poursuit et Leed décide de quitter le saloon.
Il est accompagné de 6 red Dixies. Ils passent tous aux vestiaires. Je passe aussi aux vestiaires. Les Dixies partent en bateau. Je les suis donc avec discrétion, dans la nuit. Je les suis à la lumière de leur lanterne.
Leed discute tranquillement avec ses hommes. Tout à coup, je repère dans la nuit, des hommes armés en embuscade.
Je décide de surprendre une des personnes en embuscade et donner l’alerte. Je m’approche de deux hommes en embuscade. Pour embrocher le premier et tirer sur le second. Ma manoeuvre réussit et je constate que les deux hommes sont des mexicains. Les balles fusent en direction des red Dixies… je reste cacher derrière une frondaison pour comprendre ce qui se passe.
Je finis par comprendre qu’une bande de truands cherchent à s'en prendre au red Dixies. Toujours caché, je constate l’efficacité des red Dixies qui éliminent et met en déroute les truands.
Rapidement, je me retrouve avec deux red Dixies face à moi. Je leur montre les deux cadavres et leur fais signe que je ne veux pas me battre…
Ces derniers me tiennent en joue menaçant. Je demande à parler à leur chef. Ils m’y conduisent. Je retrouve Leed. Devant un homme blessé par balle, il exulte de colére et se lance dans une longue diatribe sur la dégénérescence de l’Etat américain et que désormais n’importe qui peut se permettre n’importe quoi. S’attaquer à des vétérans lui paraît indigne mais caractéristiques de cette engeance étrangere.
Il tire dans la tête du prisonnier. Plonge son regard dans le mien. Je devine que cet homme est un fanatique, un dangereux fanatique.
Il me demande qui suis-je et pourquoi avoir pris le risque de s'attaquer à ces truands. Je lui réponds qunen tant que vétéran des Dixies, je ne peux supporter cela.
Leed est un homme dangereux mais qui semble perspicace. Il se taît et le scrute pendant de longues secondes. Pendant ce temps, ces hommes rattrapent les derniers mexicains. L’un des hommes en ramène un, une nouvelle fois. Leed s’approche de moi et me demande de le tuer… je suis dans la stupeur.
Malgré mes valeurs, je sais que je vais devoir commettre l'irréparable pour m’attirer sa sympathie. Il me tend son pistolet. Je n’ai même pas la force de regarder cet homme qui me demande pitié. J’hésite mais n’y arrive finalement pas. Leed me prend le pistolet des mains et tué cet homme.
Je le sens suspicieux. Je lui demande si je peux camper avec eux. Leed accepte mais sous la surveillance de son bras droit, Ascott, un texan 0ur souche (la quarantaine, du tabac à chiquer plein la bouche, une carrure moyenne et des cheveux bruns filasse).
Je poursuis donc ma route jusqu’au bivouac avec les red Dixies. Au bout d’1h30 dans les marécages du Bayous, le convoi s'arrête et le campement de met en place. J’ai la peur au ventre. Je suis entouré de ces fameux rednecks que j’ai combattus pendant la guerre. Cela fait 14 ans mais il ne existe encore…
Je dîne avec eux et ils me proposent de l'alcool, en particulier Ascott… Il m’interroge sur mon passé. Je tente de lui mentir mais ce dernier ne me croit guère. Agacé, il finit par me demander ce que je fais ici. Je finis, par lui dire, une “vérité”. Je lui affirme que je viens du Nord et que l’on m’a mandaté par des bureaucrates du gouvernement du Nord pour mieux essayer de convaincre les derniers vétérans de rejoindre l’armée américaine. Ascott est surpris. Il me laisse avec deux hommes et part voir Leed. Ce dernier est avachi près d’un fauteuil amovible, à proximité du feu de bois.
Leed me fait signe de venir. Il décide avec Ascott de m’emmener à l’écart, je suis toujours armé. Cela sent mauvais…
__________________________________________
Décidément, les dés ne me sont pas favorables. En particulier, sur les interactions sociales. Je vais finir la peau trouée (c'est déja le cas,
)
C'est compliqué...
Voici la suite des (més)aventures de John Big Leaf...
Voyant cela, je prends conscience que quelque chose de louche va se dérouler. Certainement, des tractations secrètes. En effet, Don zapata se déplace rarement et rarement pour rien.
La propriétaire le reçoit avec beaucoup de déférences et le fait monter sur la véranda. Observant cela, je me demande comment pourrai-je faire pour trouver un moyen de me rapprocher pour entendre leur conversation sans me faire remarquer par l’imposant service d’ordre, d’autant plus depuis l’esclandre avec les vaudous à l’extérieur…
Je décide de tenter ma chance avec Magnus pour essayer de récolter quelques informations sur la venue de Don Zapata et le message sybillin des deux vaudous.
Ce dernier marche entre les tables du tournoi dans une pièce spéciale. Dans l’autre pièce, l’ambiance est plus festive. Les invités boivent, écoutent des joueurs de banjos et les filles de joie se donnent corps et âmes.
Je reste dans un coin avec d’autres spectateurs regardant le tournoi. J’observe la partie de Stevenson. Ce dernier jour contre un quincailliers de backwood, un quartier de la Nouvelle-Orléans. C’est un gros fournisseurs des trappeurs en matière de matériels… Il joue également comme Rocky Grant, un des shérifs de la Nouvelle-Orléans, Ozzy borporn, un honnête cuisinier. Stevenson perd la première manche malgré de belles tentatives de bluff. Le quincailler n’a pas mordu et a eu de la chance avec Ozzy. Ozzy remporte la manche de justesse. Grant est éliminé.
Magnus passe à proximité, je l’interpelle discrètement. Il me demande ce que je veux. Je m’excuse pour l’esclandre et lui indiqué que j'espère ne pas avoir créé de problèmes à sa patronne. Il indique que non et se montre plutôt sympathique avec moi. Il me dit que lui-même, en a marre des bouffeurs de Peyolt. Il ne comprend pas pourquoi sa patronne s'obstine à les laisser venir. Je l’interroge sur Don Zapata sans éveiller ses soupçons. Malgré l’étonnement Magnus accepté et m’emmene dans un coin de la pièce…
Il m’explique que Don Zapata voit d’un mauvais oeil, le fait que les vaudous essaient d’investir ce lucratif saloon. Il a déjà fait plusieurs offres de rachats à la propriétaire. Cette dernière a réfusé car elle veut rester libre. Je lui demande alors pourquoi accepte-t-elle l’aide des vaudous. Il me dit que cela ne me regarde pas et que je ferai mieux de retourner regarder le tournoi. Il demeure sympathique mais m’indique qu’il vaut mieux que je me mêle d’affaires moins dangereuses.
Je retourne voir Stevenson et je découvre qu’il a quitté la table et est parti. Je pars rapidements à sa recherche. Je le recherche dans la pièce avec une ambiance certaine.
Ce dernier est fort occupé avec une fille de joie. Il est en colère. Je m’approche de lui mais il refuse de me parler. Il se lève menaçant avec un de ses compères trappeurs. Je comprends que je ne dois pas insister et lui propose que nous prenons rendez-vous. Il refuse.
Il n’est pas intéressé. Je suis, à nouveau, dans l’impasse et je comprend que je n’arriverait pas à convaincre Stevenson de m’aider… Il faudra que je trouve un moyen de m’approcher de Longstreet. Je repars vers le tournoi pour voir si Don Zapata est toujours dans le saloon.
Je décide d’attendre et de m’approcher de la porte de service. Je dépose ma veste et attend qu’un des serveurs passe en cuisine. J’essaie de rentrer dans la cuisine sans me faire repérer. Un petit couloir longe et j'assomme le serveur tout en le mettant derrière un rideau. Je le remplace et entre cuisine. Les cuistots très occupés et ne remarquent pas que je ne ressemble pas à un serveur connu. J’avance avec culot et je demande que l’on serve la tequila de Don Zapata car il n’est pas très content. Un des cuistots s’exécute et me tend un plateau avec un verre de tequila.
Je passe par l’escalier de service et arrive directement sur la véranda. Un des hommes de main m’arrête pour la forme et me laisse approcher.
Je baisse la tête et écoute leur conversation. Don Zapata semble en colère. La propriétaire lui rappelle que ce n’est pas une chienne domptée. Elle dit qu'elle ne veut pas être mêlée aux sicairos. Don Zapata s’insurge et rappelle que sa participation à ce gang de tueurs est une fable… Une fable qu’il serait dommage de vérifier.
Je décide de retourner en arrière et repasser par les cuisines. Don Zapata est donc certainement le chef de sicairos et donc le responsable du meurtre de mon contact…
Mon enquête est complexe. Je n’ai pas réussi à prendre contact avec Stevenson et je n’ai que la certitude que Don Zapata est mêlé à l’affaire Longstreet… Mais pour qu'elle raison?
Je descends les escaliers. Le tournoi se poursuit…
Un des vainqueurs est Leed, le chef des red Dixies… Un vétéran cruel et sanguinaire. Le boucher de claveson. Un redoutable pistoleros.
La fin de la soirée arrive. Don Zapata et la propriétaire remette le chèque à Leed. Étant rusé, je comprends que Leed et Don Zapata se connaissent. Cela est très intriguant car un vrai Dixies qui traite avec un Mexicain paraît peu probable.
Je me dis que je devrais suivre la piste de Leed pour mieux comprendre ce qui se trame.
La soirée se poursuit et Leed décide de quitter le saloon.
Il est accompagné de 6 red Dixies. Ils passent tous aux vestiaires. Je passe aussi aux vestiaires. Les Dixies partent en bateau. Je les suis donc avec discrétion, dans la nuit. Je les suis à la lumière de leur lanterne.
Leed discute tranquillement avec ses hommes. Tout à coup, je repère dans la nuit, des hommes armés en embuscade.
Je décide de surprendre une des personnes en embuscade et donner l’alerte. Je m’approche de deux hommes en embuscade. Pour embrocher le premier et tirer sur le second. Ma manoeuvre réussit et je constate que les deux hommes sont des mexicains. Les balles fusent en direction des red Dixies… je reste cacher derrière une frondaison pour comprendre ce qui se passe.
Je finis par comprendre qu’une bande de truands cherchent à s'en prendre au red Dixies. Toujours caché, je constate l’efficacité des red Dixies qui éliminent et met en déroute les truands.
Rapidement, je me retrouve avec deux red Dixies face à moi. Je leur montre les deux cadavres et leur fais signe que je ne veux pas me battre…
Ces derniers me tiennent en joue menaçant. Je demande à parler à leur chef. Ils m’y conduisent. Je retrouve Leed. Devant un homme blessé par balle, il exulte de colére et se lance dans une longue diatribe sur la dégénérescence de l’Etat américain et que désormais n’importe qui peut se permettre n’importe quoi. S’attaquer à des vétérans lui paraît indigne mais caractéristiques de cette engeance étrangere.
Il tire dans la tête du prisonnier. Plonge son regard dans le mien. Je devine que cet homme est un fanatique, un dangereux fanatique.
Il me demande qui suis-je et pourquoi avoir pris le risque de s'attaquer à ces truands. Je lui réponds qunen tant que vétéran des Dixies, je ne peux supporter cela.
Leed est un homme dangereux mais qui semble perspicace. Il se taît et le scrute pendant de longues secondes. Pendant ce temps, ces hommes rattrapent les derniers mexicains. L’un des hommes en ramène un, une nouvelle fois. Leed s’approche de moi et me demande de le tuer… je suis dans la stupeur.
Malgré mes valeurs, je sais que je vais devoir commettre l'irréparable pour m’attirer sa sympathie. Il me tend son pistolet. Je n’ai même pas la force de regarder cet homme qui me demande pitié. J’hésite mais n’y arrive finalement pas. Leed me prend le pistolet des mains et tué cet homme.
Je le sens suspicieux. Je lui demande si je peux camper avec eux. Leed accepte mais sous la surveillance de son bras droit, Ascott, un texan 0ur souche (la quarantaine, du tabac à chiquer plein la bouche, une carrure moyenne et des cheveux bruns filasse).
Je poursuis donc ma route jusqu’au bivouac avec les red Dixies. Au bout d’1h30 dans les marécages du Bayous, le convoi s'arrête et le campement de met en place. J’ai la peur au ventre. Je suis entouré de ces fameux rednecks que j’ai combattus pendant la guerre. Cela fait 14 ans mais il ne existe encore…
Je dîne avec eux et ils me proposent de l'alcool, en particulier Ascott… Il m’interroge sur mon passé. Je tente de lui mentir mais ce dernier ne me croit guère. Agacé, il finit par me demander ce que je fais ici. Je finis, par lui dire, une “vérité”. Je lui affirme que je viens du Nord et que l’on m’a mandaté par des bureaucrates du gouvernement du Nord pour mieux essayer de convaincre les derniers vétérans de rejoindre l’armée américaine. Ascott est surpris. Il me laisse avec deux hommes et part voir Leed. Ce dernier est avachi près d’un fauteuil amovible, à proximité du feu de bois.
Leed me fait signe de venir. Il décide avec Ascott de m’emmener à l’écart, je suis toujours armé. Cela sent mauvais…
__________________________________________
Décidément, les dés ne me sont pas favorables. En particulier, sur les interactions sociales. Je vais finir la peau trouée (c'est déja le cas,
)C'est compliqué...
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Longuefeuille
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- Inscription : lun. oct. 29, 2018 4:21 pm
Re: [CR PUSH] Exemple de partie
Bonsoir,
Une nouvelle livraison des aventures de John Big Leaf!!
Bonne lecture...
Étant un trappeur, je sais que mes chances de m’échapper face à eux sont inexistantes et que si je continue, je finirai dans un trou au sein des bayoux.
Je tiens fermement et discrètement mon gros Smith et Wesson. Je refuse de marcher devant eux mais plutôt en arrière, pour avoir les deux hommes de visu.
Les deux hommes ont une torches. Leed la plante dans les sol pour faire de la Lumière. En attendant, Ascott s’approche, la main sur son colt.
Leed écoute Ascott et rigole. Le gouvernement illégitime veut récupérer de son côté, des hommes qui ont versé leur sang pour défendre leur liberté.
D’un coup, Leed sort son colt, je dégaine plus vite et le touche en pleine poitrine, ce qui le propulse en arrière. Les blessures semblent superficielles mais il a été surpris.
Dans le même temps, Ascott tire et me touche. La balle m’atteint mais ressort de mon épaule droite. Je tire à nouveau sur Ascott… Ascott esquive tout comme moi.
Je décide de fuir au travers du Bayou. Ascott hurle que Leed a été touché et qu’il faut me retrouver.
Je cours à perdre haleine dans cet environnement hostile et de nuit. Les hommes de leed s’agitent pour me retrouver.
Je les sens derrière mes pas. Jusqu’à ce que je tombe nez-à-nez avec une famille d'alligator. Le mâle me scrute, prêt à bondir. Si je tire, les hommes de Leed me localiser aient beaucoup plus facilement.
Le mâle m’observe. Je n’ai rien hormis mon bon vieux Smith et Wesson. Attiré par l’odeur de mon sang, le mâle est en posture d’attaque. Je décide de prendre le risque de lui tirer dessus pour m’en sortir. Il me surprend en me fonçant dessus et il me fait chuter. Je lâche mon S&W… Et l’alligator se jette sur moi.J’arrive à me dégager de justesse et je me jette vers l’endroit où je pense qu’est mon S&W. Je l'attrape juste à temps avant que le mâle m’attaque une nouvelle fois, et lui loge une balle en pleine tête. Cette dernière le blessé et le fait reculer. Je poursuis ma fuite jusqu’à retrouver la civilisation, le fameux saloon l’As des As. J’entends au loin, les hommes de Leed au prise avec la famille d'alligator.
Au petit matin, j’arrive au saloon… Je retrouve Magnus à l’entrée, fumant son cigare. Le saloon est silencieux. Magnus me voir blessé et crasseux. Il m’accueille et me fait entrer. Un indien me prodiguer les premiers soins et me bande l’épaule. Magnus me demande ce qui m’est arrivé. Je lui explique que ce sont mes affaires mais que ce bayou est bien mal fréquenté…
Je décide de revenir en ville… Interroger le tueur que j’ai capturé tout en restant discret pour éviter que les Red Dixies me repèrent et essaient de me faire la peau.
Arrivé à l’entrée de la ville, j’entends des hurlements et des coups de feu. Je m’approche discrètement et constate que des bandes afroaméricains armées se battent et tirent sur les shérifs et leur adjoint. Les maisons brûlent autour et l’odeur de cendres est partout.
J’essaie de me faufiler discrètement pour arriver jusqu’au bureau du Sheriff. Par ce biais, j’évite plusieurs groupes en action. Les combats font rage. La cavalerie devrait être réquisitionné pour disperser les émeutiers.
Arriver à proximité du bureau. Je vois le Sheriff et ses adjoints en train d'essayer de résister à l'assaut d’une bande d’émeutiers remontée et armée.. Les balles fusent mais le Sheriff et ses adjoints résistent.
Surpris, je remarque un homme sur le toit. Un mexicain. Que veut-il et que fait-il? Lorsque d’un coup, j'attends le cliquetis caractéristique de la carabine derrière moi.
Je me jette en arrière et percute Ascott, qui, dans sle choc, lâche sa carabine. Je me relève et le frappe au visage. Ce dernier esquive et essaie de m’attraper aux jambes avant que mon genou lui casse le nez. Je profite de cela pour le faire tomber. Et le frapper au sol. Ascott est au abois. Il essaie d’attraper quelque chose dans sa poche. Inquiet, je prends une pierre et lui fracassé le crâne. Ascott est mort…
Je récupère sa carabine et me met en position pour aider le Sheriff et des adjoints face aux émeutiers. Une de mes balles barre la route de deux émeutiers qui se jettiaent vers les portes du Sheriff.
En attendant, l’homme sur le toit a disparu. Il a dû entrer.
Y’a-t-il un moyen de s’approcher à couvert? Il n’y a aucune solution. Il faut traverser la rue et foncer. Je prends un foulard blanc qui appartenait à Ascott. Je fonce comme un forcené en hurlant qui je suis. Je me jette dans le rue et saute par une des fenêtres. Je chute dans la maison du Sheriff. Ce dernier est surpris et me demande ce que je fais là. Je suis coupé et toujours blessé. Je lui tends la carabine pour l’inviter à défendre le poste…
Une fumée âcre emplit le poste. Un des adjoints m’indique qu’un début de feu est en cours a l'arrière. Je lui intime l’ordre de me suivre et de sortir ses armes… A l’angle de la pièce des prisonniers. L’adjoint prend un coup de hache dans la tête et un homme se tient à côté masqué. Il me voit, je lui tire dessus. L’homme esquive la balle. Ce dernier se jette sur moi avec un couteau. Je parviens par justesse à écarter son couteau et à le repousser. Je lui tire dessus et l’atteint en pleine poitrine. L’homme tombe mort. Le feu se propage. Je me jette vers la porte de la cellule où se trouve le mexicain. La porte avait dû être ouverte par le premier homme. Le Mexicain est étendu au sol mort. Le feu se poursuit et la fumée m’asphyxie. Je décide de fuir et de revenir vers le Sheriff et ses adjoints. Le Sheriff tente une sortie avec ses adjoints. Les balles fusent et l’un d’entre eux est touché. Je les suis. Et grimpe sur un des chevaux avec le Sheriff et ses adjoints. Nous galopons et fuyons…
La ville est à feu et à sang. Le Sheriff m’explique qu’une partie des afroaméricains est en colère car leurs conditions de vie n’ont pas évolué depuis la guerre. Les riches nantis continuent à les exploiter et certains font perdurer les méthodes issues du plus horribles esclavages… Le shérif tient cependant des propos très discutables qui me rappelle que je suis dans le Sud et que 15 ans ne seront pas suffisant pour faire oublier les stigmates de la guerre de sécession.
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Les dés m'ont conduit à une orientation plus profonde sur la question de la reconstruction d'un pays à la société fracturée...
La matrice m'a donné : " des noises dans une maison bourgeoise"...
Je n'ai, techniquement, pas rencontré Longstreet mais je trouve cela intéressant car comme un espion, j'évite d'éveiller les soupçons des ennemis de Longstreet ...
Une nouvelle livraison des aventures de John Big Leaf!!
Bonne lecture...
Étant un trappeur, je sais que mes chances de m’échapper face à eux sont inexistantes et que si je continue, je finirai dans un trou au sein des bayoux.
Je tiens fermement et discrètement mon gros Smith et Wesson. Je refuse de marcher devant eux mais plutôt en arrière, pour avoir les deux hommes de visu.
Les deux hommes ont une torches. Leed la plante dans les sol pour faire de la Lumière. En attendant, Ascott s’approche, la main sur son colt.
Leed écoute Ascott et rigole. Le gouvernement illégitime veut récupérer de son côté, des hommes qui ont versé leur sang pour défendre leur liberté.
D’un coup, Leed sort son colt, je dégaine plus vite et le touche en pleine poitrine, ce qui le propulse en arrière. Les blessures semblent superficielles mais il a été surpris.
Dans le même temps, Ascott tire et me touche. La balle m’atteint mais ressort de mon épaule droite. Je tire à nouveau sur Ascott… Ascott esquive tout comme moi.
Je décide de fuir au travers du Bayou. Ascott hurle que Leed a été touché et qu’il faut me retrouver.
Je cours à perdre haleine dans cet environnement hostile et de nuit. Les hommes de leed s’agitent pour me retrouver.
Je les sens derrière mes pas. Jusqu’à ce que je tombe nez-à-nez avec une famille d'alligator. Le mâle me scrute, prêt à bondir. Si je tire, les hommes de Leed me localiser aient beaucoup plus facilement.
Le mâle m’observe. Je n’ai rien hormis mon bon vieux Smith et Wesson. Attiré par l’odeur de mon sang, le mâle est en posture d’attaque. Je décide de prendre le risque de lui tirer dessus pour m’en sortir. Il me surprend en me fonçant dessus et il me fait chuter. Je lâche mon S&W… Et l’alligator se jette sur moi.J’arrive à me dégager de justesse et je me jette vers l’endroit où je pense qu’est mon S&W. Je l'attrape juste à temps avant que le mâle m’attaque une nouvelle fois, et lui loge une balle en pleine tête. Cette dernière le blessé et le fait reculer. Je poursuis ma fuite jusqu’à retrouver la civilisation, le fameux saloon l’As des As. J’entends au loin, les hommes de Leed au prise avec la famille d'alligator.
Au petit matin, j’arrive au saloon… Je retrouve Magnus à l’entrée, fumant son cigare. Le saloon est silencieux. Magnus me voir blessé et crasseux. Il m’accueille et me fait entrer. Un indien me prodiguer les premiers soins et me bande l’épaule. Magnus me demande ce qui m’est arrivé. Je lui explique que ce sont mes affaires mais que ce bayou est bien mal fréquenté…
Je décide de revenir en ville… Interroger le tueur que j’ai capturé tout en restant discret pour éviter que les Red Dixies me repèrent et essaient de me faire la peau.
Arrivé à l’entrée de la ville, j’entends des hurlements et des coups de feu. Je m’approche discrètement et constate que des bandes afroaméricains armées se battent et tirent sur les shérifs et leur adjoint. Les maisons brûlent autour et l’odeur de cendres est partout.
J’essaie de me faufiler discrètement pour arriver jusqu’au bureau du Sheriff. Par ce biais, j’évite plusieurs groupes en action. Les combats font rage. La cavalerie devrait être réquisitionné pour disperser les émeutiers.
Arriver à proximité du bureau. Je vois le Sheriff et ses adjoints en train d'essayer de résister à l'assaut d’une bande d’émeutiers remontée et armée.. Les balles fusent mais le Sheriff et ses adjoints résistent.
Surpris, je remarque un homme sur le toit. Un mexicain. Que veut-il et que fait-il? Lorsque d’un coup, j'attends le cliquetis caractéristique de la carabine derrière moi.
Je me jette en arrière et percute Ascott, qui, dans sle choc, lâche sa carabine. Je me relève et le frappe au visage. Ce dernier esquive et essaie de m’attraper aux jambes avant que mon genou lui casse le nez. Je profite de cela pour le faire tomber. Et le frapper au sol. Ascott est au abois. Il essaie d’attraper quelque chose dans sa poche. Inquiet, je prends une pierre et lui fracassé le crâne. Ascott est mort…
Je récupère sa carabine et me met en position pour aider le Sheriff et des adjoints face aux émeutiers. Une de mes balles barre la route de deux émeutiers qui se jettiaent vers les portes du Sheriff.
En attendant, l’homme sur le toit a disparu. Il a dû entrer.
Y’a-t-il un moyen de s’approcher à couvert? Il n’y a aucune solution. Il faut traverser la rue et foncer. Je prends un foulard blanc qui appartenait à Ascott. Je fonce comme un forcené en hurlant qui je suis. Je me jette dans le rue et saute par une des fenêtres. Je chute dans la maison du Sheriff. Ce dernier est surpris et me demande ce que je fais là. Je suis coupé et toujours blessé. Je lui tends la carabine pour l’inviter à défendre le poste…
Une fumée âcre emplit le poste. Un des adjoints m’indique qu’un début de feu est en cours a l'arrière. Je lui intime l’ordre de me suivre et de sortir ses armes… A l’angle de la pièce des prisonniers. L’adjoint prend un coup de hache dans la tête et un homme se tient à côté masqué. Il me voit, je lui tire dessus. L’homme esquive la balle. Ce dernier se jette sur moi avec un couteau. Je parviens par justesse à écarter son couteau et à le repousser. Je lui tire dessus et l’atteint en pleine poitrine. L’homme tombe mort. Le feu se propage. Je me jette vers la porte de la cellule où se trouve le mexicain. La porte avait dû être ouverte par le premier homme. Le Mexicain est étendu au sol mort. Le feu se poursuit et la fumée m’asphyxie. Je décide de fuir et de revenir vers le Sheriff et ses adjoints. Le Sheriff tente une sortie avec ses adjoints. Les balles fusent et l’un d’entre eux est touché. Je les suis. Et grimpe sur un des chevaux avec le Sheriff et ses adjoints. Nous galopons et fuyons…
La ville est à feu et à sang. Le Sheriff m’explique qu’une partie des afroaméricains est en colère car leurs conditions de vie n’ont pas évolué depuis la guerre. Les riches nantis continuent à les exploiter et certains font perdurer les méthodes issues du plus horribles esclavages… Le shérif tient cependant des propos très discutables qui me rappelle que je suis dans le Sud et que 15 ans ne seront pas suffisant pour faire oublier les stigmates de la guerre de sécession.
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Les dés m'ont conduit à une orientation plus profonde sur la question de la reconstruction d'un pays à la société fracturée...
La matrice m'a donné : " des noises dans une maison bourgeoise"...
Je n'ai, techniquement, pas rencontré Longstreet mais je trouve cela intéressant car comme un espion, j'évite d'éveiller les soupçons des ennemis de Longstreet ...
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Longuefeuille
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Re: [CR PUSH] Exemple de partie
Le Sheriff indique que la situation pourrait devenir hors de contrôle. Il indique qu’il faut se rendre chez le gouverneur T. Nicholls.
Ce dernier est très controversé. Porté par les rebelles anti-nordiste, il s’est imposé face à Kellogg. C’est un homme qui tient le Sud… Il va devoir réagir face à ces émeutes…
Nous nous rendons chez le Gouverneur pour lui faire part de cette menace. Je suis blessé, escorté par un des Sheriffs et par ses adjoints. Nous traversons une enceinte en pierre au fond de laquelle se trouve une immense maison cossue. Cette dernière est au sommet d’une petite colline.
Arrivée au portail, deux hommes sont en armes et semblent garder la maison. Ces derniers refusent l’entrée des adjoints mais leur proposent d’aller au saloon situé à quelques pas de cette maison. Le Sheriff et moi-même rentrons et suivant le long chemin qui mène à la maison. L'ambiance est particulière. Comme si des hommes se préparaient à la guerre.
Nous arrivons au perron de la maison. Un majordome en livrée nous accueille. Le Sheriff lui indique qu’il doit parler avec le gouverneur. Il indique que je dois être soigné avant d’aller voir le gouverneur. Je ne suis pas d’accord mais m’y oppose. J’indique que je viens en tant que membre du gouvernement fédéral. Le majordome nous demande d’attendre et deux femmes viennent me soigner et nous donner quelques collations pour attendre. Au bout de quelques minutes, le majordome revient et indiqué que le gouverneur veut d’abord me voir seul…
Toujours blessé, le gouverneur me reçoit. C’est un homme dans le type de Big daddy dans Django unchained. Il commence par: “ Je vous attendais depuis longtemps”
“ Je ne savais que j’étais attendu sinon je serai arrivé plus tôt. Mais les émeutes à la Nouvelle-Orléans m’ont quelque peu retardé.” “ Les agents fédéraux ne sont plus aussi compétent qu’auparavant”. Je viens de comprendre que le gouverneur savait que j’opérais et pourquoi? “ Entretenez-vous des relations avec Don Zapata”. “ Cela m’arrive de rencontrer des hommes de bien, qui oeuvre pour son peuple.” “ L’avez-vous vu récemment”. “ Non, le Don est au Mexique”. C’est étonnant car je l’ai rencontré à l’As des As”. Le gouverneur est troublé et ne sait plus quoi dire. Je profite de sa faiblesse pour lui dire:” Au nom du Gouvernement des États-Unis, je m’engage à négocier la proposition suivante:” Vous nous indiquez où récupérer l’acte de propriété et nous proposons un poste en Europe pour Monsieur Longstreet ce qui vous laissera le champs libre.” Le gouverneur accepte. Je lui demande où se trouve le télégraphe le plus proche. Il me l'indique. Je décide de lui parler de la Nouvelle-Orléans. Je lui propose de trouver les terroristes du Red Dixies pour mettre fin aux agitations pendant que l’armée sera dépêchée pour reprendre le contrôle de la ville. Je sors du bureau du gouverneur et croise le regard du Shérif.
Je décidais de rester pour profiter de la table du gouverneur. Je me régala.J’attendis le shérif. Ce dernier sortit dans un grand désarroi. Je m’approcha de lui et lui dit: “ Cher Shérif, mes routes sont peu sûres jusqu'au télégraphe. Une escorte de votre qualité pour un associé. Cela me paraît adéquat.” Le Shérif refusa. Je dis au Gouverneur:”Cher Gouverneur, accepteriez-vous de mettre a disposition Monsieur le Shérif en tant qu’escorte de votre associé”. Le gouverneur accepte et ordonne au Shérif de me suivre.
Pendant deux jours, nous pratîmes rejoindre et contourner la Nouvelle-Orléans. Étant un ancien pionnier, je réussis à conduire le Shérif jusqu’au télegraphe. J’y transmis le message suivant :
“ T.Nicholls impliqué-stop-taupe au gouvernement - stop- localisation des titres-stop- Red Dixies- stop demande intervention-stop-renforts possible-stop”
J'abandonne le Shérif et prit une chambre au saloon local pour attendre la réponse du Major West. Le sirroco tropical. C’est un repaire mexicain.
Je dors une partie de la journée. J’attends le crépuscule et descend dans la salle où règne une bonne ambiance. Je repère malgré la pénombre et le bruit. Un homme qui m’observe et fuit. Je tente de le rattraper mais plusieurs personnes m’en empêche. Je finis par tomber en tête a tête d’un mexicain ressemblant à Caneiro. Ce dernier me dissuade de passer et me pousse. Il me met au défi et une foule nous entoure. Ce sera un combat à mains nues. Je me lance dans le combat avec fureur mais le mexicain esquive mes coups et m’oblige à reculer. Il se jette sur moi mais je parviens à le repousser, nous retrouvant tous les deux aux sols.Le Mexicain attaque avec vitesse mais je réussis à repousser ses attaques. Surpris, il recule et je me jette sur lui. C’était un piège, le Mexicain me décoche un crochet du gauche qui m’asomme. Je dors pendant plusieurs heures. Le lendemain en milieu de journée et malgré mon mal de crâne, je me rends au telégraphe. Le Major West a répondu:
Négociation validée-stop-T Nicholls-stop- arrêter l’emeute-stop-Président -stop-rencontre-stop- stopper red dixies-stop- Le 12ieme d’infanterie-stop-envoyé-stop- Arrivée-stop-demain.
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Ce dernier est très controversé. Porté par les rebelles anti-nordiste, il s’est imposé face à Kellogg. C’est un homme qui tient le Sud… Il va devoir réagir face à ces émeutes…
Nous nous rendons chez le Gouverneur pour lui faire part de cette menace. Je suis blessé, escorté par un des Sheriffs et par ses adjoints. Nous traversons une enceinte en pierre au fond de laquelle se trouve une immense maison cossue. Cette dernière est au sommet d’une petite colline.
Arrivée au portail, deux hommes sont en armes et semblent garder la maison. Ces derniers refusent l’entrée des adjoints mais leur proposent d’aller au saloon situé à quelques pas de cette maison. Le Sheriff et moi-même rentrons et suivant le long chemin qui mène à la maison. L'ambiance est particulière. Comme si des hommes se préparaient à la guerre.
Nous arrivons au perron de la maison. Un majordome en livrée nous accueille. Le Sheriff lui indique qu’il doit parler avec le gouverneur. Il indique que je dois être soigné avant d’aller voir le gouverneur. Je ne suis pas d’accord mais m’y oppose. J’indique que je viens en tant que membre du gouvernement fédéral. Le majordome nous demande d’attendre et deux femmes viennent me soigner et nous donner quelques collations pour attendre. Au bout de quelques minutes, le majordome revient et indiqué que le gouverneur veut d’abord me voir seul…
Toujours blessé, le gouverneur me reçoit. C’est un homme dans le type de Big daddy dans Django unchained. Il commence par: “ Je vous attendais depuis longtemps”
“ Je ne savais que j’étais attendu sinon je serai arrivé plus tôt. Mais les émeutes à la Nouvelle-Orléans m’ont quelque peu retardé.” “ Les agents fédéraux ne sont plus aussi compétent qu’auparavant”. Je viens de comprendre que le gouverneur savait que j’opérais et pourquoi? “ Entretenez-vous des relations avec Don Zapata”. “ Cela m’arrive de rencontrer des hommes de bien, qui oeuvre pour son peuple.” “ L’avez-vous vu récemment”. “ Non, le Don est au Mexique”. C’est étonnant car je l’ai rencontré à l’As des As”. Le gouverneur est troublé et ne sait plus quoi dire. Je profite de sa faiblesse pour lui dire:” Au nom du Gouvernement des États-Unis, je m’engage à négocier la proposition suivante:” Vous nous indiquez où récupérer l’acte de propriété et nous proposons un poste en Europe pour Monsieur Longstreet ce qui vous laissera le champs libre.” Le gouverneur accepte. Je lui demande où se trouve le télégraphe le plus proche. Il me l'indique. Je décide de lui parler de la Nouvelle-Orléans. Je lui propose de trouver les terroristes du Red Dixies pour mettre fin aux agitations pendant que l’armée sera dépêchée pour reprendre le contrôle de la ville. Je sors du bureau du gouverneur et croise le regard du Shérif.
Je décidais de rester pour profiter de la table du gouverneur. Je me régala.J’attendis le shérif. Ce dernier sortit dans un grand désarroi. Je m’approcha de lui et lui dit: “ Cher Shérif, mes routes sont peu sûres jusqu'au télégraphe. Une escorte de votre qualité pour un associé. Cela me paraît adéquat.” Le Shérif refusa. Je dis au Gouverneur:”Cher Gouverneur, accepteriez-vous de mettre a disposition Monsieur le Shérif en tant qu’escorte de votre associé”. Le gouverneur accepte et ordonne au Shérif de me suivre.
Pendant deux jours, nous pratîmes rejoindre et contourner la Nouvelle-Orléans. Étant un ancien pionnier, je réussis à conduire le Shérif jusqu’au télegraphe. J’y transmis le message suivant :
“ T.Nicholls impliqué-stop-taupe au gouvernement - stop- localisation des titres-stop- Red Dixies- stop demande intervention-stop-renforts possible-stop”
J'abandonne le Shérif et prit une chambre au saloon local pour attendre la réponse du Major West. Le sirroco tropical. C’est un repaire mexicain.
Je dors une partie de la journée. J’attends le crépuscule et descend dans la salle où règne une bonne ambiance. Je repère malgré la pénombre et le bruit. Un homme qui m’observe et fuit. Je tente de le rattraper mais plusieurs personnes m’en empêche. Je finis par tomber en tête a tête d’un mexicain ressemblant à Caneiro. Ce dernier me dissuade de passer et me pousse. Il me met au défi et une foule nous entoure. Ce sera un combat à mains nues. Je me lance dans le combat avec fureur mais le mexicain esquive mes coups et m’oblige à reculer. Il se jette sur moi mais je parviens à le repousser, nous retrouvant tous les deux aux sols.Le Mexicain attaque avec vitesse mais je réussis à repousser ses attaques. Surpris, il recule et je me jette sur lui. C’était un piège, le Mexicain me décoche un crochet du gauche qui m’asomme. Je dors pendant plusieurs heures. Le lendemain en milieu de journée et malgré mon mal de crâne, je me rends au telégraphe. Le Major West a répondu:
Négociation validée-stop-T Nicholls-stop- arrêter l’emeute-stop-Président -stop-rencontre-stop- stopper red dixies-stop- Le 12ieme d’infanterie-stop-envoyé-stop- Arrivée-stop-demain.
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Longuefeuille
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Re: [CR PUSH] Exemple de partie
La fin de l'aventure de John Big Leaf...
En attendant, je profite du saloon. Je dors et attends le soir. L’ambiance est de feu. Le monde est métissé, partagé entre les haïtiens et les mexicains. Tout le monde se regarde en chien de faïence. Je retourne dans ma chambre afin d’éviter tout ennui.
Dans la nuit, j’entends des rires, des tables renversées, des hurlements et la reprise de la fête.
Le lendemain matin, je descends. Demeurent encore quelques ivrognes cuvant leur rhum et leur tequila.
Je m’installe. Au bout d’une heure, trois hommes entrent. Le premier est petit, n’a pas de pistolets mais deux chapelets de couteau. Il est chinois et porte un chapeau chinois. Le second est un homme élégant avec une carabine en ébène. Enfin, le dernier est mexicain et un vrai pistoleros. Il aime tirer avec les deux mains. Voici le 12ieme d’infanterie, unité d’élite d’infiltration.
L’homme à la carabine s’approche de moi et me parle:” je crois que vous nous attendiez”. “Effectivement”. “ Capitaine Tommy East, vétéran de Gettysburg, les lieutenants Sanchez, ancien de la garde présidentiel de Diaz et Tchang, ancien du cirque des pionniers. “” Heureux de vous rencontrer”.
Je leur racontai l’ensemble de l’affaire. Étant déjà allé dans leur repère, je sais que le plus dur sera de s’infiltrer pour frapper au bon moment. Nous attendîmes la nuit. Nous nous rendîmes dans leur repère. Nous décidames d’attaquer selon 3 axes. Je me retrouvais dans le Centre. Nous étions couverts par le capitaine.
Je me faufila dans une touffe de bruyère. Le temps de voir Tchang tuer deux pauvres sentinelles. Je me faufila avant de surprendre une sentinelle que j’étranfle en douceur. Mais l’un des gardes me voit. Je lui tire dessus. La balle le blessé et le propulse en arrière. C’est à ce moment où le pistoleros commence à tirer pendant que les Red Dixies rétorquent. L’en d’entre eux tire sur une bâche. Dessous, se trouve une gatling. Au moment où il touche une manivelle, une balle m'atteint en plein front. Les coups de feu se succèdent et les Red Dixies cèdent du terrain, d’autant que les hommes du Shérif firent irruption pour nous prêter main forte. Certainement dans le but de pouvoir affirmer sa participation à la lutte contre l’agitation.
Je vois que Leed est surpris par ce revirement. Il décide de fuir. J'empoigne un cheval et me lance à sa poursuite. Un homme me tire dessus mais j’arrive de justesse à esquiver la balle mais je perds mon Smith & Wesson dans cette esquive. Une branche d’arbre me fait presque trébucher et je me rattrape de justesse. Toujours à la poursuite de Leed, je me retrouve à devoir passer devant une réserve de poudre sur laquelle tirent les hommes du Shérif… la réserve explose et me voilà propulsé dans les airs, je m’écrase contre un arbre. Je m’évanouis…
Je me réveille quelques heures plus tard, lourdement blessé mais en vie. Le capitaine Tommy East est à mon chevet.
“ Ne bougez pas John Big Leaf! Vous êtes braves mais teméraire. Vous avez presque failli mourir. Heureusement qu’un des shamans séminoles a accepté de vous soigner. Vous en avez pour des semaines à vous en remettre. “ “ Mais où suis-je? Où est Leed?” “ Vous êtes à l’abbaye de Woodfest” “ Vous êtes en convalescence. Les Red Dixies sont finis mais Leed s’est échappé. Ces foutus sudistes ont tenté de faire foirer notre opération en faisant exploser cette réserve de poudre. Nous avons perdus le soldat Tchang et Gritos est blessé. Heureusement, nous avons retrouvé dans la malle de Leed, le titre de propriété. Nous l’avons remis a Longstreet, en même temps que sa mutation vers Constantinople. Le Major West m’a indiqué qu’il vous attend dès que possible pour une nouvelle mission. Je vous laisse, je retourne à Washington”.
Après deux semaines de convalescence, je quitte l’abbaye. ..
_________________________________________
Au cours de l’assaut final, j’ai tenté mais les dés ne m’ont pas été favorables sauf pour l’explosion ou j’ai échappé à la mort (dés d’Oracle avec résultat certain: mort; après un échec pour traverser la réserve en feu).
Leed ferait un super ennemi récurrent...
En attendant, je profite du saloon. Je dors et attends le soir. L’ambiance est de feu. Le monde est métissé, partagé entre les haïtiens et les mexicains. Tout le monde se regarde en chien de faïence. Je retourne dans ma chambre afin d’éviter tout ennui.
Dans la nuit, j’entends des rires, des tables renversées, des hurlements et la reprise de la fête.
Le lendemain matin, je descends. Demeurent encore quelques ivrognes cuvant leur rhum et leur tequila.
Je m’installe. Au bout d’une heure, trois hommes entrent. Le premier est petit, n’a pas de pistolets mais deux chapelets de couteau. Il est chinois et porte un chapeau chinois. Le second est un homme élégant avec une carabine en ébène. Enfin, le dernier est mexicain et un vrai pistoleros. Il aime tirer avec les deux mains. Voici le 12ieme d’infanterie, unité d’élite d’infiltration.
L’homme à la carabine s’approche de moi et me parle:” je crois que vous nous attendiez”. “Effectivement”. “ Capitaine Tommy East, vétéran de Gettysburg, les lieutenants Sanchez, ancien de la garde présidentiel de Diaz et Tchang, ancien du cirque des pionniers. “” Heureux de vous rencontrer”.
Je leur racontai l’ensemble de l’affaire. Étant déjà allé dans leur repère, je sais que le plus dur sera de s’infiltrer pour frapper au bon moment. Nous attendîmes la nuit. Nous nous rendîmes dans leur repère. Nous décidames d’attaquer selon 3 axes. Je me retrouvais dans le Centre. Nous étions couverts par le capitaine.
Je me faufila dans une touffe de bruyère. Le temps de voir Tchang tuer deux pauvres sentinelles. Je me faufila avant de surprendre une sentinelle que j’étranfle en douceur. Mais l’un des gardes me voit. Je lui tire dessus. La balle le blessé et le propulse en arrière. C’est à ce moment où le pistoleros commence à tirer pendant que les Red Dixies rétorquent. L’en d’entre eux tire sur une bâche. Dessous, se trouve une gatling. Au moment où il touche une manivelle, une balle m'atteint en plein front. Les coups de feu se succèdent et les Red Dixies cèdent du terrain, d’autant que les hommes du Shérif firent irruption pour nous prêter main forte. Certainement dans le but de pouvoir affirmer sa participation à la lutte contre l’agitation.
Je vois que Leed est surpris par ce revirement. Il décide de fuir. J'empoigne un cheval et me lance à sa poursuite. Un homme me tire dessus mais j’arrive de justesse à esquiver la balle mais je perds mon Smith & Wesson dans cette esquive. Une branche d’arbre me fait presque trébucher et je me rattrape de justesse. Toujours à la poursuite de Leed, je me retrouve à devoir passer devant une réserve de poudre sur laquelle tirent les hommes du Shérif… la réserve explose et me voilà propulsé dans les airs, je m’écrase contre un arbre. Je m’évanouis…
Je me réveille quelques heures plus tard, lourdement blessé mais en vie. Le capitaine Tommy East est à mon chevet.
“ Ne bougez pas John Big Leaf! Vous êtes braves mais teméraire. Vous avez presque failli mourir. Heureusement qu’un des shamans séminoles a accepté de vous soigner. Vous en avez pour des semaines à vous en remettre. “ “ Mais où suis-je? Où est Leed?” “ Vous êtes à l’abbaye de Woodfest” “ Vous êtes en convalescence. Les Red Dixies sont finis mais Leed s’est échappé. Ces foutus sudistes ont tenté de faire foirer notre opération en faisant exploser cette réserve de poudre. Nous avons perdus le soldat Tchang et Gritos est blessé. Heureusement, nous avons retrouvé dans la malle de Leed, le titre de propriété. Nous l’avons remis a Longstreet, en même temps que sa mutation vers Constantinople. Le Major West m’a indiqué qu’il vous attend dès que possible pour une nouvelle mission. Je vous laisse, je retourne à Washington”.
Après deux semaines de convalescence, je quitte l’abbaye. ..
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Au cours de l’assaut final, j’ai tenté mais les dés ne m’ont pas été favorables sauf pour l’explosion ou j’ai échappé à la mort (dés d’Oracle avec résultat certain: mort; après un échec pour traverser la réserve en feu).
Leed ferait un super ennemi récurrent...
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Digitrooper
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- Localisation : 2éme a gauche après l'église..
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Re: [CR PUSH] Exemple de partie
Sinon , l'ensemble de la première aventure de JBL est compilée sur le site de Wild Wild Push ....
https://digitrooper.itch.io/wild-wild-push
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Re: [CR PUSH] Exemple de partie
Ha !!! J'oubliais , sans oublier les aventures du chevalier de Ranreuil sur :
https://digitrooper.itch.io/en-garde-monseigneur
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