BenjaminP a écrit : ↑lun. oct. 06, 2025 2:40 pm
Pas d'accord du tout avec la plupart des choses dites.
(...)
De quatre, si, être un professionnel c'est mieux car s'appuyer sur des outils automatisés, bah ça donne ça.
Je maintiens mon idée : un amateur un peu "doué" qui se lance dans un travail consciencieux, avec l'aide des outils automatisés, peut parvenir à un même résultat qu'un traducteur professionnel (je parle de la qualité du texte, pas de la vitesse de production ni du volume, qui est celle d'un amateur, donc nécessairement plus lente.) Le plus important c'est d'être éxigent en langue française, pas d'être hyper fort en anglais.
Et je parle également d'expérience, car j'ai la prétention d'être en mesure de faire des traductions de qualité équivalente voire meilleures à ce qu'on trouve sur le marché du JDR, simplement parce que j'ai développé des compétences dans le domaine amateur. Mais je me contente de petits formats parce que j'ai un vrai métier à côté donc pas le temps de m'y consacrer à plein temps.
Donc
@BenjaminP tu n'as pas tort pour autant : si on veut traduire des pavés avec du rendement et de la qualité, on n'a pas le choix, il faut un pro et le payer décemment.
En vrai, c'est valable aussi pour les autres métiers de l'édition de JDR : auteur, relecteur, illustrateur, maquettiste... pas besoin d'être un pro pour faire du bon boulot. Un amateur qui a le temps devant lui peut faire des trucs géniaux (n'est-ce pas M.
@oneyed jack ?) et même devenir pro si cela se développe.
D'ailleurs, un certain nombre de traducteurs de JDR n'ont pas fait d'études de langues mais sont devenus pros "sur le tas" (j'en connais au moins quatre ou cinq).